Business Objects, leader mondial des solutions de business intelligence (BI) (code Nasdaq : BOBJ ; code ISIN Euronext Paris : FR0004026250 - BOB), vient de présenter les résultats d’une enquête qui analyse les modalités actuelles de prise de décisions au sommet des entreprises. Réalisée par l’Economist Intelligence Unit (EIU), auprès de 154 cadres supérieurs dirigeants à travers le monde (C-level), cette étude parrainée par Business Objects révèle que moins d’un dirigeant sur dix estime disposer des informations nécessaires au moment où il en aurait besoin pour prendre des décisions professionnelles critiques. Plus de la moitié de ces cadres dirigeants craignent de prendre de mauvaises décisions par manque d’information, et un quart d’entre eux pensent que les décisions de l’encadrement sont souvent, ou toujours, mauvaises.
« Ces statistiques sont consternantes », note John Schwarz, PDG de Business Objects. « Il s’agit ici de décisions professionnelles qui peuvent coûter des millions de dollars aux entreprises, que ce soit pour avoir commis des erreurs ruineuses ou pour n’avoir pas su saisir un avantage concurrentiel. »
Huit personnes interrogées sur dix disent que les données chiffrées sont le facteur le plus important dans le processus décisionnel, loin devant l’opinion des collaborateurs, l’intuition personnelle ou les conseils externes. Pourtant, l’étude montre que pour plus de la moitié des personnes interrogées, ce processus est largement informel et ad hoc dans leur entreprise.
« Le fait est que les décideurs n’obtiennent pas les données qu’ils apprécient et dont ils ont besoin, ce qui les oblige à prendre des décisions ‘à l’instinct’ », souligne M. Schwarz. « À un moment où les économistes prédisent que la crise actuelle du crédit risque d’avoir une incidence sur l’environnement des affaires, il est important d’exploiter le moindre avantage face à des contraintes concurrentielles intenses et mondiales. Les dirigeants doivent réclamer à leur organisation une clarté telle que leurs décisions puissent produire et produisent effectivement les résultats recherchés par les investisseurs. »
« Ces statistiques sont consternantes », note John Schwarz, PDG de Business Objects. « Il s’agit ici de décisions professionnelles qui peuvent coûter des millions de dollars aux entreprises, que ce soit pour avoir commis des erreurs ruineuses ou pour n’avoir pas su saisir un avantage concurrentiel. »
Huit personnes interrogées sur dix disent que les données chiffrées sont le facteur le plus important dans le processus décisionnel, loin devant l’opinion des collaborateurs, l’intuition personnelle ou les conseils externes. Pourtant, l’étude montre que pour plus de la moitié des personnes interrogées, ce processus est largement informel et ad hoc dans leur entreprise.
« Le fait est que les décideurs n’obtiennent pas les données qu’ils apprécient et dont ils ont besoin, ce qui les oblige à prendre des décisions ‘à l’instinct’ », souligne M. Schwarz. « À un moment où les économistes prédisent que la crise actuelle du crédit risque d’avoir une incidence sur l’environnement des affaires, il est important d’exploiter le moindre avantage face à des contraintes concurrentielles intenses et mondiales. Les dirigeants doivent réclamer à leur organisation une clarté telle que leurs décisions puissent produire et produisent effectivement les résultats recherchés par les investisseurs. »
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