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Fondateur et dirigeant du cabinet de conseil VALUE ACTION.
Il accompagne les dirigeants d'entreprises dans le pilotage stratégique et le management opérationnel des organisations.
Diplômé de l' IHFI, HEC, DESCF.
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Avec la crise, certains mots d’ordres reviennent en force – Réguler, Moraliser, Responsabiliser - La mise en place de procédures formelles qui fixent la conduite des affaires est certes nécessaire. Mais est-ce suffisant ? Qui porte la responsabilité éthique des actions individuelles dans le cadre de l’entreprise ?
La responsabilité ne peut pas être séparée de l’action, comme on veut trop souvent le faire volontairement ou non, et sans doute comme la vie moderne nous y porte. Si un problème se pose, des règles vont être définies de façon à le corriger. Après la crise Enron, c’est la loi Sarbanes-Oxley qui définit des règles comptables pour renforcer l’exactitude de l’information financière et comptable ainsi que l’indépendance des auditeurs et qui déclare les dirigeants pénalement responsables. Dans le même esprit, les entreprises vont se donner des codes éthiques qui vont définir les bons comportements et les obligations des salariés sur le plan éthique. Mais, il ne suffit bien sûr pas de faire signer un code éthique pour que le comportement d’un salarié devienne éthique, ni a fortiori de promulguer une loi pour que les citoyens deviennent « responsables ». Tout au plus dispose-t-on des moyens de sanction, mais la loi ne reste qu’une loi, et les règles ne remplacent pas l’éthique. Surtout, elles ne libèrent pas l’acteur de sa responsabilité : « le partisan de l’éthique de responsabilité comptera justement avec les défaillances communes de l’homme et il estimera ne pas pouvoir se décharger sur les autres des conséquences de sa propre action pour autant qu’il aura pu les prévoir » (Weber).
le Lundi 28 Juin 2010
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