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Fondateur et dirigeant du cabinet de conseil VALUE ACTION.
Il accompagne les dirigeants d'entreprises dans le pilotage stratégique et le management opérationnel des organisations.
Diplômé de l' IHFI, HEC, DESCF.
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Conférence au Collège des Bernardins sur la dimension morale en économie... et dans tous les secteurs de l’activité humaine !
Le Collège des Bernardins a invité Stephen Green, actuel Ministre du commerce et de l’investissement dans le gouvernement de David Cameron, pour évoquer la dimension morale de l’économie aujourd’hui; cependant, Stephen Green et Maurice Lévy s’accordent à dire que la morale doit également aiguiller tous les secteurs d’existence de l’homme. Stephen Green, toujours dans la référence à Goethe, résume bien cette orientation que doit prendre la morale : « Nous pourrons éviter le péril faustien en prenant certains principes pour guides : l’intégrité, la prise en considération des autres, l’ambition qui n’est pas incompatible avec l’épanouissement personnel [...]. »
Intitulé « un banquier mondial parle de morale », ce débat s’appuie sur l’ouvrage de Stephen Green, Valeur sûre, aux éditions Parole et Silence, ouvrage dans lequel il dresse un tableau économique du monde. Le sous-titre de son livre, Réflexions sur l’argent et la morale dans un monde incertain, en dit long sur les questionnements qui habitent l’ancien P.-D.G. de la banque HSBC. S’appuyant sur des exemples historiques et contemporains, Stephen Green démontre l’importance de la morale dans le capitalisme d’aujourd’hui. À ses côtés, Maurice Lévy, président de Publicis, ne peut être qu’en accord avec celui qu’il surnomme le « banquier habité par l’esprit ».
Paraphrasant Churchill, Stephen Green évoque « le capitalisme de marché comme le pire système à l’exception des autres ». Mais son optimisme lui fait penser qu’il est bien possible d’intégrer des valeurs morales à celui-ci. Ses valeurs morales sont même, selon lui, inévitables pour que le XXIème siècle ne devienne pas celui de l’individualisation mais au contraire celui de la contribution au bien commun. Alors que la mondialisation est souvent pointée du doigt comme accélérateur de la crise économique de ces dernières années, Stephen Green prévient avec lucidité que de toute façon, la mondialisation continuera car « c’est une tendance très profonde de la nature humaine qui s’accélère maintenant et qu’il est impossible de freiner ». C’est donc à l’homme de l’accepter et de comprendre que le phénomène de mondialisation peut aussi être porteur de choses positives. En effet, selon lui, elle peut agir comme un puissant moteur pour tirer les gens de la pauvreté, c’est l’exemple de ce qui s’est passé en Chine ces dernières années, tout comme elle peut agir comme « un dangereux polluant moral ». À l’homme donc de recibler ses objectifs et quand il évoque l’homme, Stephen Green, en croyant convaincu, ne parle pas seulement des banquiers, car ce ne sont pas eux qui sont exclusivement responsables de la crise, c’est la société toute entière.
Intitulé « un banquier mondial parle de morale », ce débat s’appuie sur l’ouvrage de Stephen Green, Valeur sûre, aux éditions Parole et Silence, ouvrage dans lequel il dresse un tableau économique du monde. Le sous-titre de son livre, Réflexions sur l’argent et la morale dans un monde incertain, en dit long sur les questionnements qui habitent l’ancien P.-D.G. de la banque HSBC. S’appuyant sur des exemples historiques et contemporains, Stephen Green démontre l’importance de la morale dans le capitalisme d’aujourd’hui. À ses côtés, Maurice Lévy, président de Publicis, ne peut être qu’en accord avec celui qu’il surnomme le « banquier habité par l’esprit ».
Paraphrasant Churchill, Stephen Green évoque « le capitalisme de marché comme le pire système à l’exception des autres ». Mais son optimisme lui fait penser qu’il est bien possible d’intégrer des valeurs morales à celui-ci. Ses valeurs morales sont même, selon lui, inévitables pour que le XXIème siècle ne devienne pas celui de l’individualisation mais au contraire celui de la contribution au bien commun. Alors que la mondialisation est souvent pointée du doigt comme accélérateur de la crise économique de ces dernières années, Stephen Green prévient avec lucidité que de toute façon, la mondialisation continuera car « c’est une tendance très profonde de la nature humaine qui s’accélère maintenant et qu’il est impossible de freiner ». C’est donc à l’homme de l’accepter et de comprendre que le phénomène de mondialisation peut aussi être porteur de choses positives. En effet, selon lui, elle peut agir comme un puissant moteur pour tirer les gens de la pauvreté, c’est l’exemple de ce qui s’est passé en Chine ces dernières années, tout comme elle peut agir comme « un dangereux polluant moral ». À l’homme donc de recibler ses objectifs et quand il évoque l’homme, Stephen Green, en croyant convaincu, ne parle pas seulement des banquiers, car ce ne sont pas eux qui sont exclusivement responsables de la crise, c’est la société toute entière.
Stephen Green, ancien P.-D.G. de HSBC, actuel Ministre du commerce et de l’investissement sous le gouvernement de Cameron
le Samedi 6 Août 2011
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