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Un mot clé émerge du débat suscité par la tribune critique de Greg Smith, ancien cadre de Goldman Sachs, parue dans le New York Times du 14 mars dernier : le mot « culture ». C’est autour de lui que des arguments assez virulents ont été échangés via les médias.


Les limites des arguments pour ou contre la culture de Goldman Sachs
En dépit de ses contours flous, le concept de culture appliqué à l’entreprise doit être pris au sérieux pour trois raisons : (a) il prétend rendre compte des normes et autres caractéristiques propres à des communautés humaines ; (b) il a un certain effet sur les actions de leurs membres ; et (c) il est sensible à l’influence que des tiers cherchent à exercer sur ces communautés. Dans le cas du débat actuel sur Goldman Sachs, cette dernière raison est particulièrement importante. Elle explique pourquoi les protagonistes ont situé leurs arguments au niveau de la culture de la banque. Mais en procédant ainsi, ils en ont limité la portée.

Pour le montrer, il est utile de revenir sur l’usage que les protagonistes de l’affaire ont fait du mot « culture ».
le Mardi 27 Mars 2012 | 0 commentaire


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