Nouvelle édition du baromètre saisonnier de CLIMPACT et SymphonyIRI


Rédigé par Communiqué de Climpact le 13 Janvier 2012

Bilan de l'impact de la météo exceptionnelle de l'automne 2011 (septembre/octobre/novembre)* sur plus de 300 catégories de produits de grande consommation : glaces, bières et déodorants soufflent un parfum d'été !



La fin de l'automne 2010 avait été extrêmement froide ; la neige commençait même à paralyser le territoire français. En 2011, on constate le scénario inverse ! Cet automne a bénéficié de conditions météorologiques particulièrement clémentes, avec des températures moyennes de plus de 2°C par rapport à l'année passée*, voire de +5°C la dernière semaine de septembre. Partant du constat que la météo influence le comportement d'achat des consommateurs, CLIMPACT, leader européen de la Business Intelligence Climatique et SymphonyIRI Group, spécialiste du suivi des marchés des Produits de Grande Consommation, ont analysé l'impact de la météo sur la vente des produits de grande consommation en automne 2011 et livrent les grandes tendances :


- La météo a eu impact positif sur l'activité des magasins pour les produits de grande consommation, de l'ordre de 0,4%.
- Ce sont les familles des surgelés sucrés (+22,3%), dont les spécialités glacées individuelles avec +28,9%, des boissons (+2,8%), dont les bières et cidres avec +6% et des produits d'entretien (+1,4%), dont les déodorants (+3,3 %) et les gels douches (+2 %) qui sont les grands bénéficiaires de l'automne 2011.
- A l'inverse, dans des configurations comparables, les victimes de cette douceur automnale sont l'ensemble de l'épicerie (-0,7%), les surgelés salés (-1,2%) et la crémerie (-0,7%).
- Au cours de la dernière semaine de septembre, exceptionnellement chaude, le marché des bières spéciales a augmenté de +35% et celle des potages a chuté de -20%.

Les conditions météorologiques sont un facteur important du comportement d'achat des consommateurs, aussi significatif que la hausse des prix ou l'évolution du pouvoir d'achat. En mesurer l'impact permet aux industriels et aux enseignes de distribution de gagner en performance et de maintenir leur qualité de service.

*par rapport à la même période en 2010



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