Après un premier trimestre correct mais sans plus, le deuxième trimestre, clôturé le 30 juin dernier, fait apparaitre des chiffres de ventes en forte baisse. Comparé au même trimestre de l'année précédente, le chiffre d'affaires des ventes de licences est en baisse de 18 % (de 86,3 millions de $ à 70,9 M$). Sur la totalité du 1er semestre, la baisse n'est que de 4 % mais, alors que les ventes de licences représentent le principal indicateur de bonne santé d'un éditeur de logiciels, son évolution au 2ème trimestre est préoccupante. Une baisse que Informatica compense en partie par une hausse du chiffre d'affaires réalisé sur les services, qui sont en progression de 12 % sur le trimestre.
Du coup le résultat net est aussi en baisse, de 26,2 millions de dollars sur le trimestre, il passe à 20,1 millions de dollars, soit une baisse de 23 %.
Etant donné la conjoncture économique, ces chiffres ne sont pas inquiétants outre mesure. Il peut très bien ne s'agir que d'un accident de parcours lié à des reports de signatures de contrat prévues initialement sur le premier semestre. Ce n'est de toutes façons pas la période la plus importante pour un éditeur, qui conclut la majorité de ses nouvelles affaires en fin d'année.
Mais il faudra surveiller attentivement les prochains résultats pour confirmer que le creux constaté ce trimestre n'est que temporaire et sera rattrapé par de meilleurs résultats en fin d'année fiscale.
Signe qui ne trompe pas, pour éviter une reprise trop large du communiqué d'annonce des résultats du 2ème trimestre, l'éditeur ne l'a pas fait traduire en français, contrairement à sa pratique habituelle.
Du coup le résultat net est aussi en baisse, de 26,2 millions de dollars sur le trimestre, il passe à 20,1 millions de dollars, soit une baisse de 23 %.
Etant donné la conjoncture économique, ces chiffres ne sont pas inquiétants outre mesure. Il peut très bien ne s'agir que d'un accident de parcours lié à des reports de signatures de contrat prévues initialement sur le premier semestre. Ce n'est de toutes façons pas la période la plus importante pour un éditeur, qui conclut la majorité de ses nouvelles affaires en fin d'année.
Mais il faudra surveiller attentivement les prochains résultats pour confirmer que le creux constaté ce trimestre n'est que temporaire et sera rattrapé par de meilleurs résultats en fin d'année fiscale.
Signe qui ne trompe pas, pour éviter une reprise trop large du communiqué d'annonce des résultats du 2ème trimestre, l'éditeur ne l'a pas fait traduire en français, contrairement à sa pratique habituelle.