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Les entreprises françaises misent sur le cloud computing pour doper leur compétitivité


Rédigé par Communiqué de Informatica le 27 Juin 2011

Les organisations publiques et privées plébiscitent les technologies cloud pour accroître leur avantage concurrentiel et maintenir leur croissance



Une étude d’Informatica Corporation, leader mondial des fournisseurs indépendants de solution d’intégration de données, révèle que, malgré les discussions actuelles sur les risques associés au cloud computing, 94 % des organisations publiques et privées françaises voient dans cette technologie un facteur clé de réussite. Sans elle, les entreprises estiment qu’elles perdront leur capacité à saisir de nouvelles opportunités, à suivre le rythme d’évolution de leur secteur et pensent qu’elles seront freinées dans leur croissance par les contraintes informatiques.


Dans cette étude, qui a porté sur 1500 organisations en France, seulement 8 % déclarent que les technologies du cloud n’ont aucune place dans leur stratégie informatique. A contrario, 83 % prévoient des investissements significatifs attestant que le cloud fait partie de leurs projets informatiques en tant qu’orientation technologique solide et durable.


Principaux enseignements de l’étude :


Accéder plus rapidement aux applications métiers et simplifier leur utilisation sont les deux principaux bénéfices attendus par les entreprises en adoptant le cloud afin de gagner en compétitivité (79 % soit 4 personnes interviewées sur 5).
Réduire les coûts par le biais du passage au cloud reste également une motivation forte, tant dans le secteur public que dans les entreprises (75 % soit 2 personnes sur 3).
Renforcer les capacités métier est déterminant dans le choix d’une stratégie cloud pour près de deux tiers des organisations interrogées (65 %).
Créer une plate-forme technologique favorisant le développement de services créatifs est l’une des raisons citées par plus de deux tiers (69 %) pour migrer leur informatique vers le cloud.


Alors que majorité des organisations prévoient de mettre en œuvre des technologies cloud, ce marché n’a pas atteint sa maturité. Cela transparaît dans la difficulté des personnes interrogées à quantifier les dépenses liées à ces projets : 40 % d’entre elles n’étaient pas en mesure d’avancer un chiffre précis. L’adoption du cloud computing n’en est encore qu’à ses débuts mais ces résultats indiquent clairement la nécessité pour les fournisseurs de technologies d’apporter aux entreprises comme aux organismes publics une assistance qui renforce leur confiance dans les technologies du cloud et qui leur permettent de construire en toute confiance des stratégies cloud à long terme.


« Ces résultats confirment le rythme rapide d’adoption que nous observons pour les technologies du cloud. De plus en plus d’organisations sont conscientes des avantages que le cloud peut leur apporter en termes non seulement de productivité, d’économies et d’innovation, mais aussi de gains d’agilité et de compétitivité », commente Didier Guyomarc’h, Directeur Général France et VP Sales Europe du Sud d’Informatica. « Mais pour profiter de ces avantages, les organisations publiques et privées doivent dès maintenant prendre des mesures et définir des stratégies claires sur la manière dont ces technologies vont s’insérer dans leurs environnements existants et influencer leurs dépenses informatiques futures. »


« Un modèle hybride associant technologies cloud et sur site réunit le meilleur des deux mondes en permettant aux organisations de tirer rapidement parti des innovations cloud, tout en s’assurant que la fragmentation des données entre les systèmes cloud et sur site ne fasse pas obstacle à la réussite » poursuit Didier Guyomarc’h. « La première étape pour atteindre cet objectif est d’avoir mis en place une politique d’intégration claire. »


Outre les attitudes vis-à-vis de l’adoption des technologies du cloud, l’étude d’Informatica visait à identifier les priorités des CIO et CTO lorsqu’ils choisissent et mettent en œuvre de nouveaux services technologiques. L’étude révèle que lorsqu’il s’agit d’investir dans de nouvelles technologies, la confiance arrive en tête des priorités pour 71% des personnes interrogées.


« Que la confiance joue un rôle déterminant dans la décision d’une organisation d’investir dans de nouveaux services n’est pas une surprise : ces sont des décisions importantes qui les engagent sur le long terme, et elles doivent les prendre de manière éclairées » ajoute Didier Guyomarc’h. « Cette étude met en évidence la nécessité de construire et nourrir la confiance dans les nouvelles technologies pour aider les organisations, d’une part, à définir et mettre en œuvre de nouvelles stratégies informatiques et, d’autre part, à tirer bénéfice de ces innovations. Le cloud a initié un changement radical dans la manière d’exploiter les technologies de l’information et pour beaucoup d’entreprises il représente un saut dans l’inconnu. Cette situation offre aux fournisseurs de technologie l’opportunité de jouer le rôle de guide auprès des entreprises et autres organisations pour que cette transition s’opère d’une manière transparente renforçant leur confiance. »


L’étude a été réalisée en France par LM Research en avril 2011 pour le compte d’Informatica. 1 500 CIO et CTO du secteur privé et du secteur public ont été interrogés.




Commentaires

1.Posté par JFK le 27/06/2011 14:49
"Réduire les coûts par le biais du passage au cloud reste également une motivation forte, tant dans le secteur public que dans les entreprises (75 % soit 2 personnes sur 3). "

"la difficulté des personnes interrogées à quantifier les dépenses liées à ces projets : 40 % d’entre elles n’étaient pas en mesure d’avancer un chiffre précis"

Donc 15% des personnes se laissent aller a des suppositions laxistes...



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