Christophe Bron, fondateur et président de Veintree
Pour répondre à ces défis, de nombreuses entreprises cherchent à développer des solutions technologiques basées sur la biométrie. Cependant, la fiabilité et la durabilité des systèmes actuels suscitent des préoccupations, malgré l’utilisation de méthodes plus avancées. Prenons l’exemple de la reconnaissance de l'iris, qui présente des défis spécifiques.
La reconnaissance des individus aux yeux bruns, majoritaires dans la population, rencontre des problèmes de fiabilité en raison du contraste réduit des iris plus sombres. De plus, le décès d'une personne peut entraîner des complications juridiques et d'accès aux comptes, car les changements biologiques au sein de l’œil (mydriase) entravent la lecture de l'iris.
Bien que les systèmes connus de reconnaissance des empreintes biométriques puissent être efficaces, ils comportent des défauts inhérents. En outre, le recours au stockage des données (biométriques ou autres) demeure un risque en cas de violation de la sécurité informatique.
Face à ces enjeux, il est nécessaire de concevoir une nouvelle génération de systèmes d'authentification biométrique offrant à la fois une cybersécurité robuste, des données inviolables et des principes éthiques solides pour la protection de la vie privée. Une solution émerge de cette réflexion, basée sur une expérience personnelle significative.
En tant que médecin engagé dans des missions humanitaires, j'ai souvent été confronté à des situations où des personnes de tous âges ne pouvaient pas s'identifier officiellement. Cette troublante réalité m'a poussé à développer un système d'authentification universelle, soit un système basé sur la lecture par balayage du réseau veineux des mains à travers la peau, sans nécessité de base de données.
Cette technologie, s’appuyant sur les caractéristiques biométriques uniques à chaque main, crée pour chaque application particulière une serrure numérique associée à un service spécifique. La main de l'individu devient ainsi la seule clé capable d'ouvrir cette serrure numérique, garantissant la sécurité de l'accès aux droits et, par exemple, aux services bancaires ou de cryptomonnaie. Sa résistance aux attaques menées par des ordinateurs quantiques, certifiée par le NIST, renforce cette protection. De plus, l’authentification peut être dissociée de l’identification, ce qui protège davantage l’utilisateur.
Ainsi, quiconque utilisant l'authentification biométrique basée sur sa main peut accéder à autant de droits et services que nécessaire là où il ou elle est enregistré, même sans documents d'identification. Grâce à un système fortement chiffré et inviolable, l'authentification devient éthique, durable et plus sûre, tout en éliminant le besoin de stocker et la complexité de gérer des données biométriques et des identités.
Grâce à cette technologie de serrure biométrique fondée sur le réseau veineux unique de la main, la protection des données personnelles et l’accès sécurisé aux services peut passer à la prochaine étape. Le temps est venu d’adopter cette nouvelle technologie... à pleines mains.
La reconnaissance des individus aux yeux bruns, majoritaires dans la population, rencontre des problèmes de fiabilité en raison du contraste réduit des iris plus sombres. De plus, le décès d'une personne peut entraîner des complications juridiques et d'accès aux comptes, car les changements biologiques au sein de l’œil (mydriase) entravent la lecture de l'iris.
Bien que les systèmes connus de reconnaissance des empreintes biométriques puissent être efficaces, ils comportent des défauts inhérents. En outre, le recours au stockage des données (biométriques ou autres) demeure un risque en cas de violation de la sécurité informatique.
Face à ces enjeux, il est nécessaire de concevoir une nouvelle génération de systèmes d'authentification biométrique offrant à la fois une cybersécurité robuste, des données inviolables et des principes éthiques solides pour la protection de la vie privée. Une solution émerge de cette réflexion, basée sur une expérience personnelle significative.
En tant que médecin engagé dans des missions humanitaires, j'ai souvent été confronté à des situations où des personnes de tous âges ne pouvaient pas s'identifier officiellement. Cette troublante réalité m'a poussé à développer un système d'authentification universelle, soit un système basé sur la lecture par balayage du réseau veineux des mains à travers la peau, sans nécessité de base de données.
Cette technologie, s’appuyant sur les caractéristiques biométriques uniques à chaque main, crée pour chaque application particulière une serrure numérique associée à un service spécifique. La main de l'individu devient ainsi la seule clé capable d'ouvrir cette serrure numérique, garantissant la sécurité de l'accès aux droits et, par exemple, aux services bancaires ou de cryptomonnaie. Sa résistance aux attaques menées par des ordinateurs quantiques, certifiée par le NIST, renforce cette protection. De plus, l’authentification peut être dissociée de l’identification, ce qui protège davantage l’utilisateur.
Ainsi, quiconque utilisant l'authentification biométrique basée sur sa main peut accéder à autant de droits et services que nécessaire là où il ou elle est enregistré, même sans documents d'identification. Grâce à un système fortement chiffré et inviolable, l'authentification devient éthique, durable et plus sûre, tout en éliminant le besoin de stocker et la complexité de gérer des données biométriques et des identités.
Grâce à cette technologie de serrure biométrique fondée sur le réseau veineux unique de la main, la protection des données personnelles et l’accès sécurisé aux services peut passer à la prochaine étape. Le temps est venu d’adopter cette nouvelle technologie... à pleines mains.
