« En entreprise, l'interaction des utilisateurs avec leurs données évolue rapidement et généralement dans le bon sens : la prise de décision est éclairée et n’est plus l’apanage d’un groupe restreint de décisionnaires. Ces « micro-décisions » interviennent à tous les niveaux hiérarchiques, dans tous les services, et contribuent au succès global de l'entreprise. En mettant à la disposition d'un plus grand nombre les outils de Data Discovery en libre-service, les entreprises permettent aux utilisateurs métier d’explorer et d’associer leurs données, pour les transformer ensuite en informations pertinentes et véritables avantages concurrentiels.», déclare René Bergniard, Vice-Président Qlik France.
Top 5 des tendances de la BI en 2015 :
1. La plupart des entreprises parleront du Big Data, mais sans franchir le pas.
Le Big Data offre de réelles opportunités aux entreprises. Mais en général, les services informatiques ne disposent pas des compétences ou du temps nécessaires à la mise en place de nouvelles solutions, en parallèle de leur charge de travail existante. D'un autre côté, la plupart des responsables ne prennent pas véritablement la mesure de ce que le Big Data peut leur apporter. Presque tous associent le Big Data à l'utilisation des médias sociaux uniquement : les entreprises peuvent tirer parti des outils d'analyse des sentiments pour mieux améliorer leur service client ou encore mieux cibler les attentes de leurs clients. L'intégration des réseaux sociaux aux outils d'analyse existants demeure essentielle et relativement simple.
Cela ne signifie pas que les projets Big Data ne deviendront pas une réalité dans les prochaines années. Pour ce faire, les entreprises doivent acquérir les compétences, et si possible, l'expérience nécessaire, sans abandonner leurs bases de données relationnelles.
2. Les visualisations seront plus persuasives qu'informatives.
Si « Big Data » a été le mot tendance en 2014, il était talonné par « visualisation ». Les visualisations sont trop souvent un frein à la prise de décisions, car elles sont techniquement inappropriées. Paradoxalement, les visualisations telles que nous les utilisons aujourd'hui peuvent aussi être trop convaincantes en affichant uniquement l’information nécessaire pour clarifier un point précis à d’autres personnes. Elles limitent ainsi potentiellement les échanges et le débat, et par conséquent réduisent nos chances d'évaluer correctement une situation.
La solution ? Éviter d'utiliser des outils qui génèrent des graphiques exclusivement destinés à la présentation ou au partage. Nous devons privilégier les outils dotés de capacités d'interaction et d'exploration. Personne ne doit être un « utilisateur final » ; chacun dans l'entreprise peut découvrir des informations importantes.
3. Nous sommes toujours à la recherche du téléphone ou de la tablette ultime.
Fin 2015, les développeurs et les administrateurs qui pensaient avoir résolu leurs problèmes en optant pour une plate-forme standard verront très probablement les mêmes problèmes ressurgir. Ils doivent simplement proposer aux utilisateurs une expérience « responsive ». Qui sait si les utilisateurs travailleront sur un iPad ou un périphérique Android, même d'ici 12 mois ? En 2015, les Chromebook Google ont devancé les iPad Apple pour la première fois dans les écoles américaines. Une plate-forme véritablement « responsive » permet de créer un environnement unique qui peut être déployé partout.
4. Même si nos données se trouvent dans le cloud, nous travaillerons beaucoup sur site.
Il existe plusieurs infrastructures de cloud importantes et des milliers d'applications dans le cloud. Peut-être créons-nous des données sur une ou plusieurs de ces applications. Peut-être même stockons-nous des données dans le cloud. Toutefois, beaucoup de données sont encore présentes sur site, et nous devons les intégrer aux données de plusieurs applications dans le cloud. En 2015, nous rapatrierons les données sur nos sites pour effectuer des opérations traditionnelles de nettoyage, de mise en forme, de transformation et d'intégration.
5. Les dirigeants ne disposeront toujours pas d'une vision globale de leurs opérations quotidiennes.
Il est facile de s'enthousiasmer pour les nouvelles technologies. Le Big Data, l'Internet des objets et l'analyse prédictive sont des technologies tellement prometteuses... Mais il est fort probable que partout dans le monde, des dirigeants aimeraient disposer plus rapidement d'informations plus utiles, plus complètes et plus précises sur leur activité quotidienne. On peut être tenté de rechercher l'idée extraordinaire qui va transformer notre activité (et notre réputation). Il n'en demeure pas moins que l'analyse des données ou le support décisionnel améliore l'activité en donnant un petit coup de pouce à chaque transaction/décision.
En résumé, l’analyse de données permet de réduire les erreurs dans le traitement des transactions, améliorer l'efficacité de la production, cibler mieux ses efforts marketing. Et surtout, elle donne aux dirigeants la perspective qui leur permettra d'identifier, de planifier et de suivre ces changements au quotidien.
Top 5 des tendances de la BI en 2015 :
1. La plupart des entreprises parleront du Big Data, mais sans franchir le pas.
Le Big Data offre de réelles opportunités aux entreprises. Mais en général, les services informatiques ne disposent pas des compétences ou du temps nécessaires à la mise en place de nouvelles solutions, en parallèle de leur charge de travail existante. D'un autre côté, la plupart des responsables ne prennent pas véritablement la mesure de ce que le Big Data peut leur apporter. Presque tous associent le Big Data à l'utilisation des médias sociaux uniquement : les entreprises peuvent tirer parti des outils d'analyse des sentiments pour mieux améliorer leur service client ou encore mieux cibler les attentes de leurs clients. L'intégration des réseaux sociaux aux outils d'analyse existants demeure essentielle et relativement simple.
Cela ne signifie pas que les projets Big Data ne deviendront pas une réalité dans les prochaines années. Pour ce faire, les entreprises doivent acquérir les compétences, et si possible, l'expérience nécessaire, sans abandonner leurs bases de données relationnelles.
2. Les visualisations seront plus persuasives qu'informatives.
Si « Big Data » a été le mot tendance en 2014, il était talonné par « visualisation ». Les visualisations sont trop souvent un frein à la prise de décisions, car elles sont techniquement inappropriées. Paradoxalement, les visualisations telles que nous les utilisons aujourd'hui peuvent aussi être trop convaincantes en affichant uniquement l’information nécessaire pour clarifier un point précis à d’autres personnes. Elles limitent ainsi potentiellement les échanges et le débat, et par conséquent réduisent nos chances d'évaluer correctement une situation.
La solution ? Éviter d'utiliser des outils qui génèrent des graphiques exclusivement destinés à la présentation ou au partage. Nous devons privilégier les outils dotés de capacités d'interaction et d'exploration. Personne ne doit être un « utilisateur final » ; chacun dans l'entreprise peut découvrir des informations importantes.
3. Nous sommes toujours à la recherche du téléphone ou de la tablette ultime.
Fin 2015, les développeurs et les administrateurs qui pensaient avoir résolu leurs problèmes en optant pour une plate-forme standard verront très probablement les mêmes problèmes ressurgir. Ils doivent simplement proposer aux utilisateurs une expérience « responsive ». Qui sait si les utilisateurs travailleront sur un iPad ou un périphérique Android, même d'ici 12 mois ? En 2015, les Chromebook Google ont devancé les iPad Apple pour la première fois dans les écoles américaines. Une plate-forme véritablement « responsive » permet de créer un environnement unique qui peut être déployé partout.
4. Même si nos données se trouvent dans le cloud, nous travaillerons beaucoup sur site.
Il existe plusieurs infrastructures de cloud importantes et des milliers d'applications dans le cloud. Peut-être créons-nous des données sur une ou plusieurs de ces applications. Peut-être même stockons-nous des données dans le cloud. Toutefois, beaucoup de données sont encore présentes sur site, et nous devons les intégrer aux données de plusieurs applications dans le cloud. En 2015, nous rapatrierons les données sur nos sites pour effectuer des opérations traditionnelles de nettoyage, de mise en forme, de transformation et d'intégration.
5. Les dirigeants ne disposeront toujours pas d'une vision globale de leurs opérations quotidiennes.
Il est facile de s'enthousiasmer pour les nouvelles technologies. Le Big Data, l'Internet des objets et l'analyse prédictive sont des technologies tellement prometteuses... Mais il est fort probable que partout dans le monde, des dirigeants aimeraient disposer plus rapidement d'informations plus utiles, plus complètes et plus précises sur leur activité quotidienne. On peut être tenté de rechercher l'idée extraordinaire qui va transformer notre activité (et notre réputation). Il n'en demeure pas moins que l'analyse des données ou le support décisionnel améliore l'activité en donnant un petit coup de pouce à chaque transaction/décision.
En résumé, l’analyse de données permet de réduire les erreurs dans le traitement des transactions, améliorer l'efficacité de la production, cibler mieux ses efforts marketing. Et surtout, elle donne aux dirigeants la perspective qui leur permettra d'identifier, de planifier et de suivre ces changements au quotidien.
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