Efficacité et gestion des coûts : la combinaison gagnante
De manière générale, les entreprises cherchent à être plus efficaces et à réduire les coûts pour booster leur rentabilité. Alors que les entreprises abordent l’automne avec beaucoup de scepticisme, la recherche de cet équilibre coût/bénéfices est indispensable. Selon l’INSEE, les contraintes et incertitudes sanitaires et économiques continuent d’avoir un impact non négligeable et ce, malgré les 750 milliards d’euros débloqués par l’Union Européenne pour soutenir les entreprises. Celles-ci doivent alors miser sur une rationalisation des coûts pour s’en sortir, à commencer par ceux dédiés aux infrastructures informatiques.
Depuis quelques années la tendance est au « toujours plus » en matière d’IT - plus de données, plus de cloud, plus d’applications, d’infrastructures et donc plus de menaces. Le principal enjeu pour les DSI est de pouvoir faire face à la déferlante de données malgré l’ajournement de projets dédiés ou le gel des budgets associés : il faut faire « plus » avec moins. En outre, grâce à la marche forcée vers le télétravail engendrée par la COVID, les DSI doivent pourvoir gérer l’accélération de la transformation numérique des entreprises ainsi que le développement de l’adoption de cloud.
En conséquence, les entreprises font face à la multiplication des données mais aussi des services et des charges de travail. En plus d’être stockées en silos sur diverses plateformes, 50% des nouvelles données créées[1] peuvent être considérées comme étant des « dark data », dont la valeur ou encore le risque ne sont pas identifiables en l’état par les entreprises. Les ressources n’étant pas, ou peu, extensibles (budgets, temps etc.), les entreprises doivent chercher à réduire les coûts inutiles, notamment générés par ce type de données, afin d’assurer une gestion pérenne de leur business.
Une plateforme unique pour assurer une gestion intelligente des données
La plupart des organisations stockent leurs données sur des serveurs équipés d’une couche logicielle destinée à gérer l’accès et la visualisation des données. Le nombre de logiciels et leurs interactions se multipliant, une plateforme unique et évolutive est nécessaire pour assurer le contrôle des coûts et une meilleure efficacité. Cette même plateforme optimisera la normalisation et la centralisation des données, essentielles pour une gestion intelligente des données sur le long terme.
Finalement, une gestion centralisée des données aidera les entreprises à réduire le risque et l’impact de la transformation sur les services, à éviter la création de silos liés à la mise en place du télétravail, ou encore à réduire les coûts via la prise en charge des environnements hybrides ou multi-cloud. En matière de sécurité, la visibilité sur les données permet à l’entreprise de juger de leur pertinence et de leur valeur, afin de les isoler sur des stockages sécurisés sur lesquels sont prévus des sauvegardes régulières si nécessaire. De plus, une implémentation la plus transparente possible de services additionnels limitera le phénomène de goulot d’étranglement et donc l’impact sur les performances.
Miser sur la normalisation et l’automatisation pour aider les entreprises à se focaliser sur l’essentiel
Une normalisation des données correctement menée confèrera des avantages non négligeables aux entreprises. Alors que de nouveaux services ont été déployés dans l’urgence, la normalisation des données fournit un point de vue unique et précis sur l’environnement en assurant une cohabitation transparente de plus d’un millier de types de stockages, 60 fournisseurs de services cloud, 800 sources de données et autres centaines de systèmes d’exploitation disponibles. Enfin, mettre en place une automatisation sera également indispensable si l’entreprise souhaite améliorer la gestion de données, réduire les risques, ou implémenter de nouveaux services sans accrocs.
En plus des bénéfices techniques et business, la normalisation et l’automatisation de la gestion de données induisent une réduction des coûts non négligeable. Via une meilleure compréhension de l’environnement, la suppression des doublons ou des données inutilisées, l’entreprise peut prendre des décisions éclairées, notamment en matière de stockage. Par exemple, les données les moins utilisées pourront être déplacées sur des stockages moins gourmands en matière de coût et d’énergie. La gestion et la suppression des dark data aideront par ailleurs à faire des économies. Mais le plus important reste ici de comprendre l’architecture de stockage (sur site comme dans le cloud) pour pouvoir mettre en place la meilleure stratégie possible et éviter les problèmes de compatibilité.
Tous ces éléments optimisent la gestion des coûts des entreprises, mais surtout réduisent le risque et favorisent la mise en place de contre-mesures lorsque les entreprises doivent faire face aux attaques. Le basculement automatique des services critiques et la récupération des données grâce à des systèmes de sauvegardes intégrés et hors lignes sont par exemple des mesures indispensables pour être résilient.
En résumé : misez sur des plateformes dédiées !
De manière générale, les produits ou services isolés de gestion de données ne sont pas suffisamment évolutifs pour faire face à leur croissance et à leur complexité dans les environnements complexes. C’est pourquoi une plateforme de gestion de données est la meilleure solution : elle prend en considération les environnements hybrides et est totalement transparente au niveau de l’infrastructure. En permettant un meilleur contrôle et une efficacité accrue dans la gestion, elle assure une réelle visibilité sur la valeur des données et permet d’ajuster les coûts en conséquence. Ainsi, toute entreprise pourra tirer parti des données, voire déceler de nouveaux avantages concurrentiels, indispensables dans une période aussi incertaine que la nôtre.
De manière générale, les entreprises cherchent à être plus efficaces et à réduire les coûts pour booster leur rentabilité. Alors que les entreprises abordent l’automne avec beaucoup de scepticisme, la recherche de cet équilibre coût/bénéfices est indispensable. Selon l’INSEE, les contraintes et incertitudes sanitaires et économiques continuent d’avoir un impact non négligeable et ce, malgré les 750 milliards d’euros débloqués par l’Union Européenne pour soutenir les entreprises. Celles-ci doivent alors miser sur une rationalisation des coûts pour s’en sortir, à commencer par ceux dédiés aux infrastructures informatiques.
Depuis quelques années la tendance est au « toujours plus » en matière d’IT - plus de données, plus de cloud, plus d’applications, d’infrastructures et donc plus de menaces. Le principal enjeu pour les DSI est de pouvoir faire face à la déferlante de données malgré l’ajournement de projets dédiés ou le gel des budgets associés : il faut faire « plus » avec moins. En outre, grâce à la marche forcée vers le télétravail engendrée par la COVID, les DSI doivent pourvoir gérer l’accélération de la transformation numérique des entreprises ainsi que le développement de l’adoption de cloud.
En conséquence, les entreprises font face à la multiplication des données mais aussi des services et des charges de travail. En plus d’être stockées en silos sur diverses plateformes, 50% des nouvelles données créées[1] peuvent être considérées comme étant des « dark data », dont la valeur ou encore le risque ne sont pas identifiables en l’état par les entreprises. Les ressources n’étant pas, ou peu, extensibles (budgets, temps etc.), les entreprises doivent chercher à réduire les coûts inutiles, notamment générés par ce type de données, afin d’assurer une gestion pérenne de leur business.
Une plateforme unique pour assurer une gestion intelligente des données
La plupart des organisations stockent leurs données sur des serveurs équipés d’une couche logicielle destinée à gérer l’accès et la visualisation des données. Le nombre de logiciels et leurs interactions se multipliant, une plateforme unique et évolutive est nécessaire pour assurer le contrôle des coûts et une meilleure efficacité. Cette même plateforme optimisera la normalisation et la centralisation des données, essentielles pour une gestion intelligente des données sur le long terme.
Finalement, une gestion centralisée des données aidera les entreprises à réduire le risque et l’impact de la transformation sur les services, à éviter la création de silos liés à la mise en place du télétravail, ou encore à réduire les coûts via la prise en charge des environnements hybrides ou multi-cloud. En matière de sécurité, la visibilité sur les données permet à l’entreprise de juger de leur pertinence et de leur valeur, afin de les isoler sur des stockages sécurisés sur lesquels sont prévus des sauvegardes régulières si nécessaire. De plus, une implémentation la plus transparente possible de services additionnels limitera le phénomène de goulot d’étranglement et donc l’impact sur les performances.
Miser sur la normalisation et l’automatisation pour aider les entreprises à se focaliser sur l’essentiel
Une normalisation des données correctement menée confèrera des avantages non négligeables aux entreprises. Alors que de nouveaux services ont été déployés dans l’urgence, la normalisation des données fournit un point de vue unique et précis sur l’environnement en assurant une cohabitation transparente de plus d’un millier de types de stockages, 60 fournisseurs de services cloud, 800 sources de données et autres centaines de systèmes d’exploitation disponibles. Enfin, mettre en place une automatisation sera également indispensable si l’entreprise souhaite améliorer la gestion de données, réduire les risques, ou implémenter de nouveaux services sans accrocs.
En plus des bénéfices techniques et business, la normalisation et l’automatisation de la gestion de données induisent une réduction des coûts non négligeable. Via une meilleure compréhension de l’environnement, la suppression des doublons ou des données inutilisées, l’entreprise peut prendre des décisions éclairées, notamment en matière de stockage. Par exemple, les données les moins utilisées pourront être déplacées sur des stockages moins gourmands en matière de coût et d’énergie. La gestion et la suppression des dark data aideront par ailleurs à faire des économies. Mais le plus important reste ici de comprendre l’architecture de stockage (sur site comme dans le cloud) pour pouvoir mettre en place la meilleure stratégie possible et éviter les problèmes de compatibilité.
Tous ces éléments optimisent la gestion des coûts des entreprises, mais surtout réduisent le risque et favorisent la mise en place de contre-mesures lorsque les entreprises doivent faire face aux attaques. Le basculement automatique des services critiques et la récupération des données grâce à des systèmes de sauvegardes intégrés et hors lignes sont par exemple des mesures indispensables pour être résilient.
En résumé : misez sur des plateformes dédiées !
De manière générale, les produits ou services isolés de gestion de données ne sont pas suffisamment évolutifs pour faire face à leur croissance et à leur complexité dans les environnements complexes. C’est pourquoi une plateforme de gestion de données est la meilleure solution : elle prend en considération les environnements hybrides et est totalement transparente au niveau de l’infrastructure. En permettant un meilleur contrôle et une efficacité accrue dans la gestion, elle assure une réelle visibilité sur la valeur des données et permet d’ajuster les coûts en conséquence. Ainsi, toute entreprise pourra tirer parti des données, voire déceler de nouveaux avantages concurrentiels, indispensables dans une période aussi incertaine que la nôtre.
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