L’année 2020 est plus que jamais l’année où la confiance du grand public dans les données a été mise à l’épreuve. Depuis son démarrage, la crise du Covid-19 génère un très grand nombre de données et d’indicateurs permettant de mesurer la progression de la pandémie. Surveillées de près par les ministères de la Santé et les gouvernements pour mettre en place les mesures nécessaires à la protection des populations, ces données sont également rendues publiques par souci de transparence mais aussi pour permettre à tous d’adapter leur comportement à l’évolution de la pandémie.
Au-delà des professionnels, le grand public doit également gagner en confiance dans ses compétences pour lire, comprendre et analyser les données qui l’entourent. Or, selon le rapport « The Human Impact of Data Literacy » mené conjointement par Qlik et Accenture, seul 19 % des collaborateurs ont confiance dans leurs compétences liées aux données. Pourtant les bénéfices de cette « datalphabétisation » sont indéniables sur les plans professionnelle et personnelle : réduction du stress face aux tâches liées aux questions d’information, meilleure capacité à interroger les faits et les chiffres pour obtenir la vérité et distinguer les « fake news », ces fausses informations qui ont la dangereuse tendance à envahir les médias et les réseaux sociaux, et prise de décision plus confiante puisqu’appuyée sur les données. D’ailleurs, les employés qui s'identifient comme étant compétents avec les données sont 50% plus susceptibles de dire qu'ils font davantage confiance à leurs décisions.
Pour Hervé Chapron, Senior Director EMEA System Integrators Alliances chez Qlik : « Pour avoir confiance dans les données, il est nécessaire de maitriser les fondamentaux qui permettent de les comprendre. En tant que membre fondateur du Data Literacy Project, Qlik s’est donné pour mission de créer un monde « data literate » et œuvre à travers ses actions à former la nouvelle génération. »
Au-delà des professionnels, le grand public doit également gagner en confiance dans ses compétences pour lire, comprendre et analyser les données qui l’entourent. Or, selon le rapport « The Human Impact of Data Literacy » mené conjointement par Qlik et Accenture, seul 19 % des collaborateurs ont confiance dans leurs compétences liées aux données. Pourtant les bénéfices de cette « datalphabétisation » sont indéniables sur les plans professionnelle et personnelle : réduction du stress face aux tâches liées aux questions d’information, meilleure capacité à interroger les faits et les chiffres pour obtenir la vérité et distinguer les « fake news », ces fausses informations qui ont la dangereuse tendance à envahir les médias et les réseaux sociaux, et prise de décision plus confiante puisqu’appuyée sur les données. D’ailleurs, les employés qui s'identifient comme étant compétents avec les données sont 50% plus susceptibles de dire qu'ils font davantage confiance à leurs décisions.
Pour Hervé Chapron, Senior Director EMEA System Integrators Alliances chez Qlik : « Pour avoir confiance dans les données, il est nécessaire de maitriser les fondamentaux qui permettent de les comprendre. En tant que membre fondateur du Data Literacy Project, Qlik s’est donné pour mission de créer un monde « data literate » et œuvre à travers ses actions à former la nouvelle génération. »
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