Kxen, éditeur français de composants de data mining souhaite développer une stratégie basée sur trois lignes de produits. La vente directe de sa solution complète de développement de composants de data mining, basée Kxen Analytic Framework, plutôt destinée aux grandes entreprises. Ses nouvelles solutions orientées utilisateurs baptisées Kxen Companion, dont la première est un pied de nez à son concurrent SAS. "Kxen Companion for SAS users" est en effet un « cheval de Troie », une application simple, qui permet aux utilisateurs SAS de faire le tri dans leurs données, automatiquement, pour ne conserver que les variables les plus significatives. Pour Hervé Kaufman, directeur des opérations France de Kxen, « ce produit est un manière de rentrer dans les comptes SAS et de leur montrer ce que nos produits sont capables de faire ».
Troisième gamme d’outils, ceux qui correspondent à la stratégie commerciale principale de la société, l’OEM. De nombreux accords ont déjà été passés par Kxen avec IBM ou Business Objects pour n’en citer que deux. Déjà partenaire OEM, Teradata devrait annoncer la semaine prochaine à sa conférence annuelle de Seattle franchir une étape supplémentaire et devenir revendeur des solutions Kxen. Autre partenaire, cette fois dans le domaine applicatif, AIMS Software, éditeur de progiciels de gestion de campagnes marketing, entre autres partenaire de Microsoft CRM, prévoit d’annoncer prochainement un composant analytique de segmentation développé avec les outils Kxen. L’objectif de ce composant : affiner la cible de chaque opération marketing, en prenant en compte de nouveaux critères, pour optimiser le taux de retour.
Pour Kxen, l’avenir du data mining est dans l’OEM, sous forme de composants spécialement développés pour compléter une application métier. L’éditeur envisage d’ailleurs à terme de réaliser plus de la moitié de son chiffre d’affaires mondial par ce canal. Reste qu’aujourd’hui Kxen a surtout passé des accords avec des vendeurs de technologies. Il lui reste à franchir le pas des applications métier, AIMS est un premier exemple en ce sens. Kxen aurait refusé de signer un accord semblable avec Siebel il y a quelques mois, les conditions et méthodes imposées par ce dernier ne laissant aucune place à l’éditeur d’origine française. Mais c’est en poursuivant dans cette direction, auprès d’éditeurs de CRM, d’ERP ou d’applications verticales, que Kxen parviendra à son objectif de démocratisation des composants de data mining.
Comme Monsieur Jourdain, dans quelques années, votre progiciel applicatif fera du data mining sans le savoir.
Troisième gamme d’outils, ceux qui correspondent à la stratégie commerciale principale de la société, l’OEM. De nombreux accords ont déjà été passés par Kxen avec IBM ou Business Objects pour n’en citer que deux. Déjà partenaire OEM, Teradata devrait annoncer la semaine prochaine à sa conférence annuelle de Seattle franchir une étape supplémentaire et devenir revendeur des solutions Kxen. Autre partenaire, cette fois dans le domaine applicatif, AIMS Software, éditeur de progiciels de gestion de campagnes marketing, entre autres partenaire de Microsoft CRM, prévoit d’annoncer prochainement un composant analytique de segmentation développé avec les outils Kxen. L’objectif de ce composant : affiner la cible de chaque opération marketing, en prenant en compte de nouveaux critères, pour optimiser le taux de retour.
Pour Kxen, l’avenir du data mining est dans l’OEM, sous forme de composants spécialement développés pour compléter une application métier. L’éditeur envisage d’ailleurs à terme de réaliser plus de la moitié de son chiffre d’affaires mondial par ce canal. Reste qu’aujourd’hui Kxen a surtout passé des accords avec des vendeurs de technologies. Il lui reste à franchir le pas des applications métier, AIMS est un premier exemple en ce sens. Kxen aurait refusé de signer un accord semblable avec Siebel il y a quelques mois, les conditions et méthodes imposées par ce dernier ne laissant aucune place à l’éditeur d’origine française. Mais c’est en poursuivant dans cette direction, auprès d’éditeurs de CRM, d’ERP ou d’applications verticales, que Kxen parviendra à son objectif de démocratisation des composants de data mining.
Comme Monsieur Jourdain, dans quelques années, votre progiciel applicatif fera du data mining sans le savoir.