Les conditions qui régissent l’économie mondiale obligent les entreprises à rechercher toutes les opportunités de croissance et de profit. Les entreprises se voient contraintes de prendre de difficiles décisions pour affecter au mieux des ressources rares et limitées. Les incertitudes géopolitiques rendent la planification de plus en plus ardue et obligent les entreprises à revoir en permanence leurs stratégies pour les adapter et les optimiser au rythme accéléré du changement. Enfin, la rigueur des nouvelles exigences réglementaires obligent les PDG et Directeurs Financiers à mettre en jeu, à chaque trimestre, leur carrière et leur réputation.
Dans ce contexte difficile, l’amélioration de la performance requiert une excellente compréhension des performances passées et actuelles afin de prendre les meilleures décisions pour le futur. La première étape à franchir consiste donc à disposer d’informations précises et fiables sur les performances de l’entreprise, un premier pas qui peut se révéler complexe à mettre en œuvre. En effet, il n’est pas rare de constater la dispersion de ces informations dans 10 à 12 systèmes informatiques totalement indépendants les uns des autres.
Depuis le début des années 90, les entreprises utilisent des logiciels de Business Intelligence (BI) pour consulter, analyser et partager les informations sur leurs performances, et ce, quel que soit le degré de dispersion de ces données ou la diversité des systèmes qui les produisent. La BI joue donc un rôle essentiel pour fournir à l’entreprise la visibilité sur ses performances, préalable indispensable à toute tentative d’amélioration.
Avec le lancement du Business Performance Management (BPM) au début des années 2000, la BI a joué un rôle encore plus important. Avec le BPM, l’entreprise dispose d’une visibilité totale sur les performances de ses diverses activités dont elle peut planifier et modéliser la progression. Le BPM relie le calcul des objectifs, la modélisation, la planification, le suivi, l’analyse et le reporting au sein d’un cycle complet de gestion des performances. Dans ce système, la BI gère le reporting et les analyses qui alimentent la planification, c’est à dire le cœur même du BPM. A l’évidence, plus les plans sont de bonne qualité, meilleures sont les performances.
La BI joue aussi un rôle essentiel dans l’une des premières étapes de la plupart des programmes de BPM : la mise à disposition des utilisateurs, dans des formats utilisables, d’importants volumes de données jusque là confinés dans de multiples systèmes transactionnels indépendants.
Avec la visibilité que procure la BI et la capacité de planification issue du BPM, il est désormais possible de déployer des programmes de gestion de la performance couvrant l’ensemble de l’entreprise. Cependant, la réussite de ces programmes repose, selon Hyperion, sur une évolution du statut de la BI qui ne devrait plus être réservée à une élite d’experts mais devenir un outil standard utilisé quotidiennement par le plus grand nombre. En un mot, la BI doit devenir omniprésente.
Les outils de BI ne pourront se généraliser que si leur utilisation se simplifie considérablement. En parallèle, l’intérêt du déploiement et de l’administration de la BI doit se développer afin de permettre une réduction des coûts par des économies d’échelle. Pour bon nombre d’entreprises, la réponse à ces deux besoins réside avant tout dans la consolidation de plates-formes et d’outils de BI dans des solutions intégrées et standardisées. Ainsi, les avantages de l’omniprésence de la BI deviennent évidents : offrir à chacun la visibilité sur les performances et réduire le coût total de possession du système.
Dans ce contexte difficile, l’amélioration de la performance requiert une excellente compréhension des performances passées et actuelles afin de prendre les meilleures décisions pour le futur. La première étape à franchir consiste donc à disposer d’informations précises et fiables sur les performances de l’entreprise, un premier pas qui peut se révéler complexe à mettre en œuvre. En effet, il n’est pas rare de constater la dispersion de ces informations dans 10 à 12 systèmes informatiques totalement indépendants les uns des autres.
Depuis le début des années 90, les entreprises utilisent des logiciels de Business Intelligence (BI) pour consulter, analyser et partager les informations sur leurs performances, et ce, quel que soit le degré de dispersion de ces données ou la diversité des systèmes qui les produisent. La BI joue donc un rôle essentiel pour fournir à l’entreprise la visibilité sur ses performances, préalable indispensable à toute tentative d’amélioration.
Avec le lancement du Business Performance Management (BPM) au début des années 2000, la BI a joué un rôle encore plus important. Avec le BPM, l’entreprise dispose d’une visibilité totale sur les performances de ses diverses activités dont elle peut planifier et modéliser la progression. Le BPM relie le calcul des objectifs, la modélisation, la planification, le suivi, l’analyse et le reporting au sein d’un cycle complet de gestion des performances. Dans ce système, la BI gère le reporting et les analyses qui alimentent la planification, c’est à dire le cœur même du BPM. A l’évidence, plus les plans sont de bonne qualité, meilleures sont les performances.
La BI joue aussi un rôle essentiel dans l’une des premières étapes de la plupart des programmes de BPM : la mise à disposition des utilisateurs, dans des formats utilisables, d’importants volumes de données jusque là confinés dans de multiples systèmes transactionnels indépendants.
Avec la visibilité que procure la BI et la capacité de planification issue du BPM, il est désormais possible de déployer des programmes de gestion de la performance couvrant l’ensemble de l’entreprise. Cependant, la réussite de ces programmes repose, selon Hyperion, sur une évolution du statut de la BI qui ne devrait plus être réservée à une élite d’experts mais devenir un outil standard utilisé quotidiennement par le plus grand nombre. En un mot, la BI doit devenir omniprésente.
Les outils de BI ne pourront se généraliser que si leur utilisation se simplifie considérablement. En parallèle, l’intérêt du déploiement et de l’administration de la BI doit se développer afin de permettre une réduction des coûts par des économies d’échelle. Pour bon nombre d’entreprises, la réponse à ces deux besoins réside avant tout dans la consolidation de plates-formes et d’outils de BI dans des solutions intégrées et standardisées. Ainsi, les avantages de l’omniprésence de la BI deviennent évidents : offrir à chacun la visibilité sur les performances et réduire le coût total de possession du système.
Freins à la généralisation de la BI
Aujourd’hui, les solutions de BI et la visibilité qu’elles procurent sont réservées à un petit nombre de d’informaticiens disposant des compétences techniques nécessaires à l’utilisation de multiples outils pour obtenir les informations qu’ils recherchent. Ces experts informatiques sont spécialement formés pour dénicher l’information pertinente, où qu’elle se cache, l’analyser et générer des rapports prêts à être utilisés par d’autres personnes. Leurs clients sont des utilisateurs métiers tels que des responsables de division, des dirigeants et cadres qui ont besoin de mieux comprendre le fonctionnement de l’entreprise et préparer l’avenir grâce à des décisions mieux informées.
Mais en fait, ce que souhaitent vraiment les utilisateurs métiers, c’est la possibilité de répondre par eux-mêmes à leurs questions, sans dépendre d’experts ni être obligés d’en devenir eux-mêmes. Ils veulent pouvoir utiliser toute sorte de données sans avoir besoin de savoir comment y accéder, où elles résident ni leurs formats. Et une fois les données en leur possession, ils veulent pouvoir les manipuler librement dans tous les sens pour les analyser en profondeur, créer des alertes automatiques et générer des rapports pour informer d’autres utilisateurs et décider avec leurs collègues des actions à mettre en œuvre. Il est impossible de tout prévoir, c’est pourquoi la souplesse est essentielle.
Chaque fournisseur de solutions de BI essaye de relever ce défi. Historiquement, chaque activité et chaque fonction de l’entreprise ont eu des besoins différents en terme d’accès à l’information et d’outils de reporting. C’est pourquoi les éditeurs de logiciels de BI ont développé des outils distincts capables de répondre à ces différentes exigences : un jeu d’outils pour le reporting de production, un autre pour les requêtes et analyses personnalisées, encore un pour les analyses multidimensionnelles et encore d’autres pour le data mining ou les analyses statistiques.
Selon le cabinet Forrester, il résulte de cette situation que la plupart des 2000 plus grandes entreprises mondiales et administrations publiques utilisent simultanément de 5 à 15 solutions de BI différentes. Le plus souvent, ces solutions de BI ne sont rien de plus que l’agglomération d’outils et de plates-formes totalement déconnectés.
Cette fragmentation est un frein important à la généralisation de la BI dans l’entreprise : les utilisateurs métiers ne peuvent pas travailler comme ils le souhaitent et même les experts doivent apprendre à utiliser de multiples outils. De plus, cette fragmentation génère une importante demande de support auprès des équipes informatiques, ce qui empêche encore la généralisation de la BI.
Ce défi est encore plus difficile à relever si l’on considère la complexité croissante de l’accès à l’information et de son administration. Dans la plupart des entreprises, des volumes considérables de données sont dispersés dans de multiples systèmes hétérogènes dont l’évolution est en elle-même un problème majeur.
Afin de généraliser l’utilisation de la BI, l’expérience que les utilisateurs ont de ces outils doit s’améliorer considérablement de manière à ce que la BI devienne, pour tous, un outil de travail quotidien et banalisé. L’accès à l’information, la formulation de requêtes et d’analyses complexes et la génération de rapports doivent devenir des tâches rapides, simples et intuitives. Enfin, les utilisateurs métiers doivent pouvoir les réaliser sans faire appel au service informatique.
Mais en fait, ce que souhaitent vraiment les utilisateurs métiers, c’est la possibilité de répondre par eux-mêmes à leurs questions, sans dépendre d’experts ni être obligés d’en devenir eux-mêmes. Ils veulent pouvoir utiliser toute sorte de données sans avoir besoin de savoir comment y accéder, où elles résident ni leurs formats. Et une fois les données en leur possession, ils veulent pouvoir les manipuler librement dans tous les sens pour les analyser en profondeur, créer des alertes automatiques et générer des rapports pour informer d’autres utilisateurs et décider avec leurs collègues des actions à mettre en œuvre. Il est impossible de tout prévoir, c’est pourquoi la souplesse est essentielle.
Chaque fournisseur de solutions de BI essaye de relever ce défi. Historiquement, chaque activité et chaque fonction de l’entreprise ont eu des besoins différents en terme d’accès à l’information et d’outils de reporting. C’est pourquoi les éditeurs de logiciels de BI ont développé des outils distincts capables de répondre à ces différentes exigences : un jeu d’outils pour le reporting de production, un autre pour les requêtes et analyses personnalisées, encore un pour les analyses multidimensionnelles et encore d’autres pour le data mining ou les analyses statistiques.
Selon le cabinet Forrester, il résulte de cette situation que la plupart des 2000 plus grandes entreprises mondiales et administrations publiques utilisent simultanément de 5 à 15 solutions de BI différentes. Le plus souvent, ces solutions de BI ne sont rien de plus que l’agglomération d’outils et de plates-formes totalement déconnectés.
Cette fragmentation est un frein important à la généralisation de la BI dans l’entreprise : les utilisateurs métiers ne peuvent pas travailler comme ils le souhaitent et même les experts doivent apprendre à utiliser de multiples outils. De plus, cette fragmentation génère une importante demande de support auprès des équipes informatiques, ce qui empêche encore la généralisation de la BI.
Ce défi est encore plus difficile à relever si l’on considère la complexité croissante de l’accès à l’information et de son administration. Dans la plupart des entreprises, des volumes considérables de données sont dispersés dans de multiples systèmes hétérogènes dont l’évolution est en elle-même un problème majeur.
Afin de généraliser l’utilisation de la BI, l’expérience que les utilisateurs ont de ces outils doit s’améliorer considérablement de manière à ce que la BI devienne, pour tous, un outil de travail quotidien et banalisé. L’accès à l’information, la formulation de requêtes et d’analyses complexes et la génération de rapports doivent devenir des tâches rapides, simples et intuitives. Enfin, les utilisateurs métiers doivent pouvoir les réaliser sans faire appel au service informatique.
Un principe de base : faire mieux, mais faire simple
Dans un article paru en octobre 2004 dans la revue The Economist, Andreas Kluth fait référence aux travaux de Joe Corn historien de l’Université de Stanford. Celui-ci prend comme modèle l’automobile pour démontrer comment devrait évoluer la technologie en vue de sa démocratisation. Selon les travaux de M. Corn les premiers conducteurs de voitures devaient savoir lubrifier eux-mêmes certaines parties du moteur et de la transmission, régler les bougies et le starter, démarrer à la manivelle et réparer tout type de pannes. Aujourd’hui, nous n’avons plus qu’à tourner la clef de contact, appuyer sur l’accélérateur, freiner et passer les vitesses. La complexité des voitures modernes, qui sont en fait des ordinateurs extrêmement sophistiqués, est masquée aux yeux des conducteurs, et cachée derrière une interface utilisateur simplifiée et standardisée à l’extrême.
Pour Hyperion, la voiture et son évolution forment une excellente image de ce qui doit arriver pour que la BI puisse se démocratiser largement. Chez Hyperion, tout est mis en œuvre afin de faire de la BI un outil banal et quotidien. Ces outils comprennent des solutions de BI incluant des systèmes de tableaux de bord interactifs de gestion des performances et des outils d’analyses extrêmement évolués. Pour la première fois et grâce à l’Hyperion Master Data Management Server, les utilisateurs peuvent synchroniser automatiquement les données maîtresses avec tous les systèmes opérationnels de gestion des performances de l’entreprise. Il nous reste cependant encore beaucoup à faire, et en particulier simplifier l’administration des outils de BI, un facteur clef de leur généralisation dans l’entreprise.
Hyperion® System™ 9 va créer un nouveau standard en matière de reporting destiné au management. Cette solution sera la première à associer des rapports financiers, opérationnels et analytiques au sein d’un environnement unique de manière à simplifier ce type de reporting à la fois pour les utilisateurs et pour les équipes informatiques qui les supportent.
Hyperion System 9 permettra aussi aux utilisateurs de disposer d’espaces de travail personnalisés dans lesquels ils pourront accéder à partir d’un système unique à toutes les informations opérationnelles, financières et analytiques et répondre à tous leurs besoins de reporting et d’analyse. Pour la première fois, les équipes informatiques n’auront plus qu’un seul système à déployer, administrer et gérer pour satisfaire toutes les exigences de l’entreprise en matière de BI.
La vision BI d’Hyperion est simple : donner à chaque collaborateur de l’entreprise la visibilité sur les performances tout en réduisant le coût total de possession de la BI. La stratégie peut se résumer par : la BI omniprésente. L’outil de mise en œuvre de cette stratégie ? Hyperion System 9.
Pour en savoir plus sur le futur de la Business Intelligence selon Hyperion, veuillez visiter notre site www.hyperion.fr.
Pour Hyperion, la voiture et son évolution forment une excellente image de ce qui doit arriver pour que la BI puisse se démocratiser largement. Chez Hyperion, tout est mis en œuvre afin de faire de la BI un outil banal et quotidien. Ces outils comprennent des solutions de BI incluant des systèmes de tableaux de bord interactifs de gestion des performances et des outils d’analyses extrêmement évolués. Pour la première fois et grâce à l’Hyperion Master Data Management Server, les utilisateurs peuvent synchroniser automatiquement les données maîtresses avec tous les systèmes opérationnels de gestion des performances de l’entreprise. Il nous reste cependant encore beaucoup à faire, et en particulier simplifier l’administration des outils de BI, un facteur clef de leur généralisation dans l’entreprise.
Hyperion® System™ 9 va créer un nouveau standard en matière de reporting destiné au management. Cette solution sera la première à associer des rapports financiers, opérationnels et analytiques au sein d’un environnement unique de manière à simplifier ce type de reporting à la fois pour les utilisateurs et pour les équipes informatiques qui les supportent.
Hyperion System 9 permettra aussi aux utilisateurs de disposer d’espaces de travail personnalisés dans lesquels ils pourront accéder à partir d’un système unique à toutes les informations opérationnelles, financières et analytiques et répondre à tous leurs besoins de reporting et d’analyse. Pour la première fois, les équipes informatiques n’auront plus qu’un seul système à déployer, administrer et gérer pour satisfaire toutes les exigences de l’entreprise en matière de BI.
La vision BI d’Hyperion est simple : donner à chaque collaborateur de l’entreprise la visibilité sur les performances tout en réduisant le coût total de possession de la BI. La stratégie peut se résumer par : la BI omniprésente. L’outil de mise en œuvre de cette stratégie ? Hyperion System 9.
Pour en savoir plus sur le futur de la Business Intelligence selon Hyperion, veuillez visiter notre site www.hyperion.fr.