Le pionnier des databots ou robots logiciels TeRoCo se prépare à offrir ses services en France. TeRoCo est spécialisé dans la formation et la mise en œuvre de databots, des assistants virtuels capables de reprendre des tâches répétitives, permettant ainsi d’automatiser des systèmes et de les intégrer les uns aux autres. Avec l’ouverture d’une antenne physique à Lille, TeRoCo se rapproche de ses clients français afin de les aider à franchir une nouvelle étape dans leur transformation digitale.
L’expansion vers la France est une étape logique dans la forte croissance que TeRoCo connaît depuis ses débuts. Avec de très nombreux clients actifs à l’international et sa propre présence en Belgique et aux Pays-Bas, l’expansion vers la France s’inscrit parfaitement dans les objectifs de croissance ambitieux de TeRoCo. « Nous voulons définitivement rompre avec un ancrage flamand. La France est un marché gigantesque où nous voyons de nombreuses opportunités », affirme Pascal Kemps, cofondateur de TeRoCo.
Plus de similitudes que de différences
TeRoCo ciblera principalement les secteurs qui lui sont déjà familiers, comme la logistique, le marketing, les soins de santé et les assurances. Hormis la langue, il y a plus de similitudes que de différences. « Les Français rencontrent les mêmes problèmes que nos clients belges et néerlandais actuels », précise Pascal Kemps. « Dans le secteur logistique, par exemple, les réglementations sont toutes stipulées dans des conventions et des traités européens ou mondiaux. La seule différence entre un poids lourd en Belgique et en France est la plaque d’immatriculation. »
TeRoCo va aussi s’implanter physiquement en France, avec une antenne à Lille. TeRoCo est fière de réaliser elle-même la mise en œuvre complète des robots logiciels. Bien que cela soit en grande partie réalisable à distance, cette présence physique en France peut jouer un rôle déterminant dans les visites aux clients (potentiels), afin de leur offrir un service de proximité, dans leur propre langue.
De plus, TeRoCo a profité des derniers mois pour engager les profils adéquats dans le but de mieux servir le marché français. Francis Coulonval, Business Developer chez TeRoCo, a cependant approché lui-même le pionnier des databots, convaincu d’une vision commune. « J’ai été en contact avec TeRoCo dans ma carrière de consultant informatique dans le secteur bancaire », explique Francis Coulonval. « La start-up belge jouit d’une excellente réputation qui correspond à ce que je vise personnellement : qualité, flexibilité et rapidité, mais surtout fiabilité. Avec mon bilinguisme ainsi que ma connaissance et mon expérience du marché français, nous étions faits pour nous entendre. »
Crise du coronavirus : le moment d’investir dans les databots
La pandémie de coronavirus a obligé les entreprises à se réinventer et à appréhender une nouvelle réalité économique. En proposant la mise en œuvre complète de databots, TeRoCo offre une alternative rapide, efficace et abordable pour l’automatisation. Les databots connaissent en outre une durée d’amortissement de seulement quelques mois. « Beaucoup d’entreprises se trouvent dans une situation budgétaire difficile et sont contraintes une fois de plus de se réinventer. Elles doivent pouvoir mener cette réflexion stratégique avec leurs collaborateurs talentueux. L’intelligence humaine est cruciale pour une action rapide. Les databots constituent la solution idéale pour libérer cette matière grise », conclut Pascal Kemps.
L’expansion vers la France est une étape logique dans la forte croissance que TeRoCo connaît depuis ses débuts. Avec de très nombreux clients actifs à l’international et sa propre présence en Belgique et aux Pays-Bas, l’expansion vers la France s’inscrit parfaitement dans les objectifs de croissance ambitieux de TeRoCo. « Nous voulons définitivement rompre avec un ancrage flamand. La France est un marché gigantesque où nous voyons de nombreuses opportunités », affirme Pascal Kemps, cofondateur de TeRoCo.
Plus de similitudes que de différences
TeRoCo ciblera principalement les secteurs qui lui sont déjà familiers, comme la logistique, le marketing, les soins de santé et les assurances. Hormis la langue, il y a plus de similitudes que de différences. « Les Français rencontrent les mêmes problèmes que nos clients belges et néerlandais actuels », précise Pascal Kemps. « Dans le secteur logistique, par exemple, les réglementations sont toutes stipulées dans des conventions et des traités européens ou mondiaux. La seule différence entre un poids lourd en Belgique et en France est la plaque d’immatriculation. »
TeRoCo va aussi s’implanter physiquement en France, avec une antenne à Lille. TeRoCo est fière de réaliser elle-même la mise en œuvre complète des robots logiciels. Bien que cela soit en grande partie réalisable à distance, cette présence physique en France peut jouer un rôle déterminant dans les visites aux clients (potentiels), afin de leur offrir un service de proximité, dans leur propre langue.
De plus, TeRoCo a profité des derniers mois pour engager les profils adéquats dans le but de mieux servir le marché français. Francis Coulonval, Business Developer chez TeRoCo, a cependant approché lui-même le pionnier des databots, convaincu d’une vision commune. « J’ai été en contact avec TeRoCo dans ma carrière de consultant informatique dans le secteur bancaire », explique Francis Coulonval. « La start-up belge jouit d’une excellente réputation qui correspond à ce que je vise personnellement : qualité, flexibilité et rapidité, mais surtout fiabilité. Avec mon bilinguisme ainsi que ma connaissance et mon expérience du marché français, nous étions faits pour nous entendre. »
Crise du coronavirus : le moment d’investir dans les databots
La pandémie de coronavirus a obligé les entreprises à se réinventer et à appréhender une nouvelle réalité économique. En proposant la mise en œuvre complète de databots, TeRoCo offre une alternative rapide, efficace et abordable pour l’automatisation. Les databots connaissent en outre une durée d’amortissement de seulement quelques mois. « Beaucoup d’entreprises se trouvent dans une situation budgétaire difficile et sont contraintes une fois de plus de se réinventer. Elles doivent pouvoir mener cette réflexion stratégique avec leurs collaborateurs talentueux. L’intelligence humaine est cruciale pour une action rapide. Les databots constituent la solution idéale pour libérer cette matière grise », conclut Pascal Kemps.