Et la situation n'est guère plus satisfaisante côté fournisseurs avec les principaux acteurs qui affichent un bilan financier avec des pertes significatives et en hausse ! Il est urgent pour les clients de s'entourer de personnes formées avec un vrai retour d'expérience sur ces technologies et de revoir les démarches, notamment le développement souvent incontrôlé et à outrance.
Car la pression sur le Big Data va encore s’accroitre, car l'effervescence augmente autour de la GDPR (« réglementation du droit à l’oubli pour les données personnelles ») et ce n'est pas près de se terminer ! La mise en œuvre de la GDPR est devenue un sujet de « préoccupation » des DSI des entreprises de toutes tailles et de tout secteur. Actuellement, la course contre la montre est déjà lancée pour s'informer et comprendre les enjeux pour les retardataires ou pour s'entourer (DPO, juriste, consultant...) pour les plus avancés. Et c'est déjà très compliqué à gérer sur le fond (les enjeux) et sur la forme (les ressources). Et il y aura à mon sens une seconde vague au moins aussi forte avec la gestion de l'impact majeur dans la plupart des cas sur l'infrastructure existante notamment sur le stockage primaire (les données) et secondaire (archivage, sauvegarde).
Et au-delà de la GDPR, l’IA arrive !
Les dépenses mondiales consacrées aux systèmes d’IA ont cru de 60 % en 2017. Les applications cognitives et d'IA vont donc impacter fortement les principaux composants d’infrastructures IT (serveurs, stockage, réseau), notamment pour le traitement des données (collecte, analyse, accès) des données structurées et non structurées, c’est-à-dire le Big Data pour faire simple. Et lorsque l’on sait que 70 % de ces projets sont des échecs lors du passage en production… Mais cela, je l’ai déjà dit…
Les fameux gains et ROI liés aux projets de Big Data ne coulent donc pas de source. Il convient de bien comprendre le marché et ses évolutions afin que le Big Data puisse tenir ses promesses. C’est dans ces conditions qu’une gouvernance performante de la data sera possible et que de nouveaux gisements de croissance seront enfin possibles pour les entreprises de toutes tailles.
Car la pression sur le Big Data va encore s’accroitre, car l'effervescence augmente autour de la GDPR (« réglementation du droit à l’oubli pour les données personnelles ») et ce n'est pas près de se terminer ! La mise en œuvre de la GDPR est devenue un sujet de « préoccupation » des DSI des entreprises de toutes tailles et de tout secteur. Actuellement, la course contre la montre est déjà lancée pour s'informer et comprendre les enjeux pour les retardataires ou pour s'entourer (DPO, juriste, consultant...) pour les plus avancés. Et c'est déjà très compliqué à gérer sur le fond (les enjeux) et sur la forme (les ressources). Et il y aura à mon sens une seconde vague au moins aussi forte avec la gestion de l'impact majeur dans la plupart des cas sur l'infrastructure existante notamment sur le stockage primaire (les données) et secondaire (archivage, sauvegarde).
Et au-delà de la GDPR, l’IA arrive !
Les dépenses mondiales consacrées aux systèmes d’IA ont cru de 60 % en 2017. Les applications cognitives et d'IA vont donc impacter fortement les principaux composants d’infrastructures IT (serveurs, stockage, réseau), notamment pour le traitement des données (collecte, analyse, accès) des données structurées et non structurées, c’est-à-dire le Big Data pour faire simple. Et lorsque l’on sait que 70 % de ces projets sont des échecs lors du passage en production… Mais cela, je l’ai déjà dit…
Les fameux gains et ROI liés aux projets de Big Data ne coulent donc pas de source. Il convient de bien comprendre le marché et ses évolutions afin que le Big Data puisse tenir ses promesses. C’est dans ces conditions qu’une gouvernance performante de la data sera possible et que de nouveaux gisements de croissance seront enfin possibles pour les entreprises de toutes tailles.