Le groupe Santé Watson IBM (NYSE : IBM) a annoncé aujourd’hui que l’Institut ontarien du cerveau et la Clinique des troubles du mouvement du Réseau universitaire de santé de Toronto vont entreprendre le tout premier projet de recherche sur la maladie de Parkinson au Canada faisant appel à la plateforme IBM Watson for Drug Discovery, lancée récemment.
Les chercheurs de la Clinique des troubles du mouvement ainsi que des membres de l’équipe d’informatique et d’analytique de l’Institut ontarien du cerveau utiliseront Watson pour accélérer le processus de découverte de médicaments, ce qui transformera la façon dont ils découvriront de nouveaux médicaments et détermineront quels médicaments existants pourraient potentiellement servir à lutter contre la maladie de Parkinson, et ce, beaucoup plus rapidement qu’avec les méthodes de recherche traditionnelles.
En mettant à profit son corpus de presque 31 millions de sources de littérature pertinente, cette solution cognitive infonuagique d’IBM analyse les données et connaissances scientifiques en faisant appel à l’apprentissage automatique et au traitement du langage naturel.
Selon la Parkinson’s Disease Foundation, on estime à 7 à 10 millions le nombre de personnes qui sont touchées par la maladie de Parkinson dans le monde(1) , et il s’agit de la deuxième maladie neurodégénérative la plus répandue au Canada, après la maladie d’Alzheimer(2).
Actuellement, mettre un médicament sur le marché prend près de dix ans et coûte environ 2,6 milliards de dollars. Par ailleurs, 88 % des nouveaux médicaments échouent à la Phase 1 en raison d’un manque d’efficacité et de sécurité(3) .
«Les personnes qui font des recherches sur les médicaments», a affirmé Lauren O’Donnell, vice-présidente, Sciences de la vie, Santé Watson IBM, «doivent affronter les difficultés que représentent le volume et le rythme des données émergentes. Watson for Drug Discovery leur permet d’utiliser des outils cognitifs qui contribueront à accélérer la vitesse de découverte de médicaments et à augmenter la possibilité de fournir plus vite des thérapies efficaces aux patients.»
«Ce partenariat marque le début d’une nouvelle ère pour les neurosciences, a déclaré Tom Mikkelsen, président et directeur scientifique, Institut ontarien du cerveau; les chercheurs pourront travailler sur les données à un niveau sans précédent de perfectionnement et de rapidité. Nous sommes heureux de l’effet que cela pourrait avoir sur les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.»
«L’Ontario a pris l’engagement de placer les patients au cœur de son système de santé», a affirmé le Dr Eric Hoskins, ministre de la Santé et des Soins de longue durée, «et finance les institutions grâce auxquelles nous sommes un leader mondial en recherche et en soins relatifs au cerveau. Cette collaboration se traduira par des résultats de recherche qui pourraient grandement améliorer la vie des personnes souffrant de la maladie de Parkinson. »
Au Canada, une personne sur trois – soit plus de 11 millions de Canadiens – subira une maladie psychiatrique, un trouble neurologique ou une lésion cérébrale ou médullaire à un moment de sa vie(4) et environ 25 personnes reçoivent un diagnostic de Parkinson tous les jours(5), selon l’Institut ontarien du cerveau. En Ontario seulement, on estime que 285 000 personnes sont affectées d’une forme quelconque de maladie neurodégénérative, comme la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer et la sclérose latérale amyotrophique (SLA6).
Selon la Dre Lorraine Kalia, neurologue et neuroscientifique, spécialiste des troubles du mouvement au Centre des neurosciences Krembil du Réseau universitaire de santé, les technologies cognitives comme IBM Watson ont le potentiel de générer des découvertes pouvant avoir un effet direct sur la santé des Canadiens. «Cette plateforme nous permet d’examiner des relations que les chercheurs n’auraient peut-être pas trouvées, indique-t-elle, sans y consacrer des semaines ou des mois de travail. Cela comprend l’identification de composés que nous n’avons pas envisagés auparavant pour le traitement de la maladie de Parkinson.»
1. Understanding Parkinson’s: Parkinson’s FAQ, 2010. (en anglais)
2. La maladie de Parkinson : prévalence, diagnostic et conséquences, novembre 2015
3. The PhRMA, Biopharmaceutical Research and Development: The Process Behind New Medicines, août 2015.
4. La Fondation Brain Canada
5. Organismes caritatifs neurologiques du Canada (OCNC), Santé Canada, Agence de la santé publique du Canada (ASPC), Institut de recherche en santé du Canada (IRSC). «Établir les connexions : Mieux comprendre les affections neurologiques au Canada»,» septembre 2014. p. 66.
6. Neurodegenerative Disorders, 2016 (en anglais)
Les chercheurs de la Clinique des troubles du mouvement ainsi que des membres de l’équipe d’informatique et d’analytique de l’Institut ontarien du cerveau utiliseront Watson pour accélérer le processus de découverte de médicaments, ce qui transformera la façon dont ils découvriront de nouveaux médicaments et détermineront quels médicaments existants pourraient potentiellement servir à lutter contre la maladie de Parkinson, et ce, beaucoup plus rapidement qu’avec les méthodes de recherche traditionnelles.
En mettant à profit son corpus de presque 31 millions de sources de littérature pertinente, cette solution cognitive infonuagique d’IBM analyse les données et connaissances scientifiques en faisant appel à l’apprentissage automatique et au traitement du langage naturel.
Selon la Parkinson’s Disease Foundation, on estime à 7 à 10 millions le nombre de personnes qui sont touchées par la maladie de Parkinson dans le monde(1) , et il s’agit de la deuxième maladie neurodégénérative la plus répandue au Canada, après la maladie d’Alzheimer(2).
Actuellement, mettre un médicament sur le marché prend près de dix ans et coûte environ 2,6 milliards de dollars. Par ailleurs, 88 % des nouveaux médicaments échouent à la Phase 1 en raison d’un manque d’efficacité et de sécurité(3) .
«Les personnes qui font des recherches sur les médicaments», a affirmé Lauren O’Donnell, vice-présidente, Sciences de la vie, Santé Watson IBM, «doivent affronter les difficultés que représentent le volume et le rythme des données émergentes. Watson for Drug Discovery leur permet d’utiliser des outils cognitifs qui contribueront à accélérer la vitesse de découverte de médicaments et à augmenter la possibilité de fournir plus vite des thérapies efficaces aux patients.»
«Ce partenariat marque le début d’une nouvelle ère pour les neurosciences, a déclaré Tom Mikkelsen, président et directeur scientifique, Institut ontarien du cerveau; les chercheurs pourront travailler sur les données à un niveau sans précédent de perfectionnement et de rapidité. Nous sommes heureux de l’effet que cela pourrait avoir sur les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.»
«L’Ontario a pris l’engagement de placer les patients au cœur de son système de santé», a affirmé le Dr Eric Hoskins, ministre de la Santé et des Soins de longue durée, «et finance les institutions grâce auxquelles nous sommes un leader mondial en recherche et en soins relatifs au cerveau. Cette collaboration se traduira par des résultats de recherche qui pourraient grandement améliorer la vie des personnes souffrant de la maladie de Parkinson. »
Au Canada, une personne sur trois – soit plus de 11 millions de Canadiens – subira une maladie psychiatrique, un trouble neurologique ou une lésion cérébrale ou médullaire à un moment de sa vie(4) et environ 25 personnes reçoivent un diagnostic de Parkinson tous les jours(5), selon l’Institut ontarien du cerveau. En Ontario seulement, on estime que 285 000 personnes sont affectées d’une forme quelconque de maladie neurodégénérative, comme la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer et la sclérose latérale amyotrophique (SLA6).
Selon la Dre Lorraine Kalia, neurologue et neuroscientifique, spécialiste des troubles du mouvement au Centre des neurosciences Krembil du Réseau universitaire de santé, les technologies cognitives comme IBM Watson ont le potentiel de générer des découvertes pouvant avoir un effet direct sur la santé des Canadiens. «Cette plateforme nous permet d’examiner des relations que les chercheurs n’auraient peut-être pas trouvées, indique-t-elle, sans y consacrer des semaines ou des mois de travail. Cela comprend l’identification de composés que nous n’avons pas envisagés auparavant pour le traitement de la maladie de Parkinson.»
1. Understanding Parkinson’s: Parkinson’s FAQ, 2010. (en anglais)
2. La maladie de Parkinson : prévalence, diagnostic et conséquences, novembre 2015
3. The PhRMA, Biopharmaceutical Research and Development: The Process Behind New Medicines, août 2015.
4. La Fondation Brain Canada
5. Organismes caritatifs neurologiques du Canada (OCNC), Santé Canada, Agence de la santé publique du Canada (ASPC), Institut de recherche en santé du Canada (IRSC). «Établir les connexions : Mieux comprendre les affections neurologiques au Canada»,» septembre 2014. p. 66.
6. Neurodegenerative Disorders, 2016 (en anglais)
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