Cette équipe de chercheurs est conduite par Leo Meyerovich et Matthew Torok. Ils viennent de publier une synthèse de leurs recherches ainsi qu’une petite vidéo d’explication et de démonstration, que vous pouvez voir ci-dessus. Des recherches menées avec le soutien de grands noms de l’industrie des technologies dont Microsoft et Intel. D’autres commanditaires ont participé au financement : National Instruments, Nokia, Nvidia, Oracle et Samsung. Ces travaux ont été menés dans le cadre du Parallel Computing Laboratory de l’université de Berkeley.
L’équipe est partie du constat que le volume des données à analyser est en progression constante ; mais que dans le même temps, les technologies utilisées pour l’exploration de ces données n’ont pas suivi le même chemin et ne bénéficient pas d’améliorations majeures. Aujourd’hui « les designers [de visualisations graphiques] doivent choisir entre le volume et l’interactivité », expliquent-ils.
Pour ces chercheurs, seul Superconductor répondra aux trois axes des langages de représentation graphique : les volumes (plusieurs millions de points de données sur un même graphique), l’interactivité (100 millisecondes de temps de réponse aux interactions de l’utilisateur et des animations à 30 images par seconde), et la productivité dans le développement (avec un langage qui se voudra aussi simple à programmer que JavaScript).
Leur publication pose pour l’instant les bases d’un tel langage et de son mode de fonctionnement. Ils y décrivent les différentes couches de programmation et leurs modes de communication ; ainsi que l’interface entre le langage et les cartes graphiques (d’où l’intérêt de Nvidia pour ces travaux).
Beaucoup de travail reste à faire, mais il faudra suivre dans les prochains mois les travaux de ces chercheurs et leur transmission éventuelle vers les laboratoires de développement des grandes sociétés qui commanditent ces travaux.
L’équipe est partie du constat que le volume des données à analyser est en progression constante ; mais que dans le même temps, les technologies utilisées pour l’exploration de ces données n’ont pas suivi le même chemin et ne bénéficient pas d’améliorations majeures. Aujourd’hui « les designers [de visualisations graphiques] doivent choisir entre le volume et l’interactivité », expliquent-ils.
Pour ces chercheurs, seul Superconductor répondra aux trois axes des langages de représentation graphique : les volumes (plusieurs millions de points de données sur un même graphique), l’interactivité (100 millisecondes de temps de réponse aux interactions de l’utilisateur et des animations à 30 images par seconde), et la productivité dans le développement (avec un langage qui se voudra aussi simple à programmer que JavaScript).
Leur publication pose pour l’instant les bases d’un tel langage et de son mode de fonctionnement. Ils y décrivent les différentes couches de programmation et leurs modes de communication ; ainsi que l’interface entre le langage et les cartes graphiques (d’où l’intérêt de Nvidia pour ces travaux).
Beaucoup de travail reste à faire, mais il faudra suivre dans les prochains mois les travaux de ces chercheurs et leur transmission éventuelle vers les laboratoires de développement des grandes sociétés qui commanditent ces travaux.
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