Largement utilisés dans le secteur financier, les outils de data mining de Kxen auraient pu voir leur marché mis à mal par la crise actuelle. Sans doute l’éditeur d’origine française est-il trop petit et trop spécialisé pour ressentir durement ces effets. Ses dirigeants ont en effet le sourire. Les résultats 2009 semblent en ligne avec les prévisions, et Hervé Kaufmann en charge de la zone EMEA pense même être en avance sur ses objectifs. Bien sur, il a fallu concéder quelques restrictions. Ce sont les budgets marketing et relations publiques qui ont été amputés, mais sans toucher aux opérations majeures réalisées avec les partenaires apporteurs de nombreuses affaires, dont Teradata ou Business & Décision. Kxen est ainsi de nouveau sponsor majeur de la conférence européenne de Teradata. Un investissement qui se justifie par la proximité commerciale, Kxen et Teradata auraient déjà une quarantaine de clients en commun.
Préserver les investissements en R&D est en tous cas la contrainte majeure. Une équipe d’une vingtaine de personnes, toutes installées en France à Suresnes, et qu’il n’a pas été question de déléguer dans un pays offshore. Hervé Kaufmann reconnaît que le développement de l’interface utilisateur aurait pu, en son temps, être sous-traitée, mais les surcoûts liés à cette externalisation auraient été supérieurs au gain espéré. Quant au moteur de data mining, coeur de métier de l’éditeur, il n’est pas question d’en confier le développement à une société extérieure. C’est dans ce moteur que Kxen créé la différence avec ses concurrents et c’est cette valeur ajoutée qu’achètent, parfois cher, les entreprises utilisatrices.
Le développement futur de Kxen passe beaucoup par le secteur des télécommunications, d’où son intérêt pour des pays émergents comme la Turquie où les télécommunications sont déjà très développées, mais aussi des environnements plus « compliqués » comme le Pakistan où Kxen a développé récemment un projet avec un opérateur local.
Préserver les investissements en R&D est en tous cas la contrainte majeure. Une équipe d’une vingtaine de personnes, toutes installées en France à Suresnes, et qu’il n’a pas été question de déléguer dans un pays offshore. Hervé Kaufmann reconnaît que le développement de l’interface utilisateur aurait pu, en son temps, être sous-traitée, mais les surcoûts liés à cette externalisation auraient été supérieurs au gain espéré. Quant au moteur de data mining, coeur de métier de l’éditeur, il n’est pas question d’en confier le développement à une société extérieure. C’est dans ce moteur que Kxen créé la différence avec ses concurrents et c’est cette valeur ajoutée qu’achètent, parfois cher, les entreprises utilisatrices.
Le développement futur de Kxen passe beaucoup par le secteur des télécommunications, d’où son intérêt pour des pays émergents comme la Turquie où les télécommunications sont déjà très développées, mais aussi des environnements plus « compliqués » comme le Pakistan où Kxen a développé récemment un projet avec un opérateur local.
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