Sur une machine en grappe composée de 10 serveurs dotés chacun de 8 cœurs, IBM a pulvérisé son propre record de manipulation de fichiers. Le record précédent avait été établi en 2007 et avait permis de lire 1 milliard de fichiers en trois heures. Ce sont maintenant 10 milliards de fichiers qui ont été lus en 43 minutes, soit une réduction d’un facteur 37. IBM continue de faire progresser son algorithme de gestion de fichiers (General Parallel File System – GPFS) inventé en 1998. Pas d’impact concret sur nos systèmes décisionnels aujourd’hui bien sur, mais par ces recherches, IBM donne de nouvelles perspectives à la croissance exponentielle des volumes de données à analyser. Les données décisionnelles de demain ne seront plus forcément centralisées dans une base de données unique, mais éparpillées dans une multitude de fichiers qu’il faudra trouver, trier et lire le plus rapidement possible.
Pour en savoir plus sur l’organisation de ce nouveau record, le détail du test et de ses conditions est disponible dans le document en pièce jointe publié par IBM et les quatre chercheurs à l’origine de ce record.
Pour en savoir plus sur la division recherche en charge du stockage chez IBM, consultez : http://www.almaden.ibm.com/storagesystems/
Pour en savoir plus sur l’organisation de ce nouveau record, le détail du test et de ses conditions est disponible dans le document en pièce jointe publié par IBM et les quatre chercheurs à l’origine de ce record.
Pour en savoir plus sur la division recherche en charge du stockage chez IBM, consultez : http://www.almaden.ibm.com/storagesystems/
Autres articles
-
IBM lance un nouveau logiciel pour éliminer les silos de données et rationaliser la planification et l'analyse
-
IBM aide les partenaires de son écosystème à accélérer l'adoption de l'IA en leur facilitant son intégration et sa mise à l'échelle dans leurs projets
-
Rapport IBM : Les consommateurs paient le prix fort alors que les coûts des violations de données atteignent un niveau record
-
IBM et Palantir s'associent pour aider les entreprises à déployer facilement des applications d'intelligence artificielle puissantes et ouvertes et à déverrouiller des données précieuses dans les environnements de cloud hybride
-
Atos et IBM collaborent pour mettre l’intelligence artificielle et Red Hat OpenShift au service de la transformation des entreprises