L’entité sécurité d’IBM annonce ce jour que des leaders mondiaux dans la banque, la santé, l’éducation et d’autres industries clefs ont rejoint le programme pilote d’IBM Watson for Cyber Security. Ces 40 organisations vont tester les capacités de Watson à les assister dans leur combat contre les cybercriminels.
L’environnement actuel de la sécurité nécessite davantage de renseignements pour identifier et prioriser les menaces, conduisant à une augmentation de la charge de travail des analystes avec plus d’alertes et d’anomalies à gérer qu’il n’y en a jamais eu. Watson for Cyber Security utilise des technologies intelligentes comme le “machine learning” et le traitement du langage naturel, pour aider les analystes de sécurité à prendre plus rapidement de meilleures décisions, dans le cadre de la défense d’une organisation, en les basant sur des données structurées et sur un volume massif de données non-structurées qui étaient inutilisables jusqu’à présent. Cette solution bénéficie de la technologie cognitive d’IBM, leader en la matière, qui a été formée à comprendre le langage spécifique de la sécurité[1].
Une étude récente de l’IBM Institute for Business Value montre que quasiment 60% des professionnels de la sécurité considèrent que l’émergence des technologies cognitives a joué un rôle critique dans l’inversion des tendances concernant la lutte contre les cybercriminels.
“Les clients en sont aux prémices de l’implémentation des technologies cognitives” a déclaré Sandy Bird, Chief Technology Officer, IBM Security. “Nos études laissent penser que cette adoption va tripler en volume durant les trois prochaines années, avec des outils comme Watson for Cybersecurity qui vont s’affiner et se généraliser dans les SOCs (security operations centers). Actuellement, seulement 7% des organisations déclarent utiliser des solutions cognitives.”
Lancement du programme bêta d’IBM Watson for Cyber Security
Des organisations du Fortune 500 de différents secteurs comme la finance, le transport, l’énergie, l’automobile ou l’éducation travaillent actuellement avec Watson for Cybersecurity, affinant ses capacités en cybersécurité avec des pilotes basés sur des cas du monde réel.
Ces 40 clients bêta utilisent Watson dans leur propre environnement de sécurité afin d’ajouter du contexte à leurs données de cybersécurité, avec de nouveaux cas d’utilisation tels que :
Déterminer si une attaque est liée ou non à un logiciel malveillant ou une campagne d’attaques connue. Dans ce cas, Watson apportera entre autres, les informations sur le logiciel malveillant utilisé, les vulnérabilités exploitées, l’étendue des menaces.
Mieux identifier les comportements suspects. Watson élargira le contexte étudié pour les activités des utilisateurs permettant d’être plus précis pour déterminer si une activité est malveillante ou non.
Travaillant avec ces clients bêta, IBM continu à améliorer la compréhension des données de sécurité par Watson et à affiner la manière dont celui-ci peut s’intégrer quotidiennement dans les opérations de sécurité.
Une étude montre que la sécurité cognitive est en progression
IBM Institute for Business Value a interrogé récemment plus de 700 professionnels de la sécurité pour évaluer les perspectives sur les défis, les bénéfices et les opportunités des technologies cognitives pour la sécurité.
Presque 60% des sondés sont convaincus que les technologies cognitives seront rapidement assez matures pour diminuer significativement les cyber-attaques dans un futur proche. Alors que seulement 7% disent que leur organisation est en train d’implémenter une solution cognitive pour la sécurité, 21% déclarent qu’ils vont en mettre une en œuvre dans les 2 à 3 ans qui viennent, soit un triplement de l’adoption.
Les professionnels de la sécurité ont aussi souligné, pour 40% d’entre eux, que le principal bénéfice qu’ils attendent des technologies cognitives est l’amélioration de la prise de décision pour la détection et la réponse aux incidents de sécurité. Actuellement, une organisation met en moyenne 201 jours pour identifier une fuite de données et 70 jours pour la contenir[2]. Les professionnels de la sécurité s’attendent à ce que le cognitif apporte beaucoup à la réduction de ces délais grâce à de meilleures informations et des prises de décisions plus rapides.
Le rapport complet est disponible ici : ibm.biz/cyberimmunity
Etendre le cognitif et les renseignements dans le portefeuille des offres IBM Sécurité
Alors que le développement de Watson for Cybersecurity continue, IBM rajoute des capacités cognitives et analytiques avancées dans d’autres parties de son portefeuille d’offres de sécurité :
Appliquer de l’analyse comportementale pour mieux comprendre les usages et comportements de l’interne - employés, sous-traitants et partenaires – afin de déterminer si leurs identifiants ont été compromis grâce à IBM QRadar User Behavior Analytics.
Utiliser des analyses brevetées, du machine learning et des capacités biométriques comportementales pour empêcher la fraude bancaire avec IBM Trusteer Pinpoint Detect, qui analyse la façon dont les utilisateurs interagissent avec les sites bancaires, créant des modèles gestuels qui deviennent de plus en plus pertinents avec le temps.
Utiliser le “machine learning” pour aider les clients à trouver plus rapidement des vulnérabilités potentielles dans les applications avec IBM Security AppScan
Aider les clients à détecter les failles et à y remédier avant qu’elles ne soient utilisées, grâce à de nouvelles capacités de détection des anomalies pour l’ensemble de leurs données avec IBM Security Guardium
Recruter 2 000 experts du domaine de la sécurité, développeurs, consultants et chercheurs, dont 600 aux Etats-Unis, au court des deux dernières années.
L’environnement actuel de la sécurité nécessite davantage de renseignements pour identifier et prioriser les menaces, conduisant à une augmentation de la charge de travail des analystes avec plus d’alertes et d’anomalies à gérer qu’il n’y en a jamais eu. Watson for Cyber Security utilise des technologies intelligentes comme le “machine learning” et le traitement du langage naturel, pour aider les analystes de sécurité à prendre plus rapidement de meilleures décisions, dans le cadre de la défense d’une organisation, en les basant sur des données structurées et sur un volume massif de données non-structurées qui étaient inutilisables jusqu’à présent. Cette solution bénéficie de la technologie cognitive d’IBM, leader en la matière, qui a été formée à comprendre le langage spécifique de la sécurité[1].
Une étude récente de l’IBM Institute for Business Value montre que quasiment 60% des professionnels de la sécurité considèrent que l’émergence des technologies cognitives a joué un rôle critique dans l’inversion des tendances concernant la lutte contre les cybercriminels.
“Les clients en sont aux prémices de l’implémentation des technologies cognitives” a déclaré Sandy Bird, Chief Technology Officer, IBM Security. “Nos études laissent penser que cette adoption va tripler en volume durant les trois prochaines années, avec des outils comme Watson for Cybersecurity qui vont s’affiner et se généraliser dans les SOCs (security operations centers). Actuellement, seulement 7% des organisations déclarent utiliser des solutions cognitives.”
Lancement du programme bêta d’IBM Watson for Cyber Security
Des organisations du Fortune 500 de différents secteurs comme la finance, le transport, l’énergie, l’automobile ou l’éducation travaillent actuellement avec Watson for Cybersecurity, affinant ses capacités en cybersécurité avec des pilotes basés sur des cas du monde réel.
Ces 40 clients bêta utilisent Watson dans leur propre environnement de sécurité afin d’ajouter du contexte à leurs données de cybersécurité, avec de nouveaux cas d’utilisation tels que :
Déterminer si une attaque est liée ou non à un logiciel malveillant ou une campagne d’attaques connue. Dans ce cas, Watson apportera entre autres, les informations sur le logiciel malveillant utilisé, les vulnérabilités exploitées, l’étendue des menaces.
Mieux identifier les comportements suspects. Watson élargira le contexte étudié pour les activités des utilisateurs permettant d’être plus précis pour déterminer si une activité est malveillante ou non.
Travaillant avec ces clients bêta, IBM continu à améliorer la compréhension des données de sécurité par Watson et à affiner la manière dont celui-ci peut s’intégrer quotidiennement dans les opérations de sécurité.
Une étude montre que la sécurité cognitive est en progression
IBM Institute for Business Value a interrogé récemment plus de 700 professionnels de la sécurité pour évaluer les perspectives sur les défis, les bénéfices et les opportunités des technologies cognitives pour la sécurité.
Presque 60% des sondés sont convaincus que les technologies cognitives seront rapidement assez matures pour diminuer significativement les cyber-attaques dans un futur proche. Alors que seulement 7% disent que leur organisation est en train d’implémenter une solution cognitive pour la sécurité, 21% déclarent qu’ils vont en mettre une en œuvre dans les 2 à 3 ans qui viennent, soit un triplement de l’adoption.
Les professionnels de la sécurité ont aussi souligné, pour 40% d’entre eux, que le principal bénéfice qu’ils attendent des technologies cognitives est l’amélioration de la prise de décision pour la détection et la réponse aux incidents de sécurité. Actuellement, une organisation met en moyenne 201 jours pour identifier une fuite de données et 70 jours pour la contenir[2]. Les professionnels de la sécurité s’attendent à ce que le cognitif apporte beaucoup à la réduction de ces délais grâce à de meilleures informations et des prises de décisions plus rapides.
Le rapport complet est disponible ici : ibm.biz/cyberimmunity
Etendre le cognitif et les renseignements dans le portefeuille des offres IBM Sécurité
Alors que le développement de Watson for Cybersecurity continue, IBM rajoute des capacités cognitives et analytiques avancées dans d’autres parties de son portefeuille d’offres de sécurité :
Appliquer de l’analyse comportementale pour mieux comprendre les usages et comportements de l’interne - employés, sous-traitants et partenaires – afin de déterminer si leurs identifiants ont été compromis grâce à IBM QRadar User Behavior Analytics.
Utiliser des analyses brevetées, du machine learning et des capacités biométriques comportementales pour empêcher la fraude bancaire avec IBM Trusteer Pinpoint Detect, qui analyse la façon dont les utilisateurs interagissent avec les sites bancaires, créant des modèles gestuels qui deviennent de plus en plus pertinents avec le temps.
Utiliser le “machine learning” pour aider les clients à trouver plus rapidement des vulnérabilités potentielles dans les applications avec IBM Security AppScan
Aider les clients à détecter les failles et à y remédier avant qu’elles ne soient utilisées, grâce à de nouvelles capacités de détection des anomalies pour l’ensemble de leurs données avec IBM Security Guardium
Recruter 2 000 experts du domaine de la sécurité, développeurs, consultants et chercheurs, dont 600 aux Etats-Unis, au court des deux dernières années.
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