Microsoft a annoncé une évolution significative de sa solution SDS (SQL Data Services). SDS est un des composants de la stratégie de Microsoft qui vise à couvrir ce que l’on appelle maintenant le « cloud computing », l’idée d’utiliser des services logiciels et des environnements de stockage de données externalisés et partagés au travers d’un prestataire du réseau Internet. Les premiers développements de Cloud Computing ont été proposés par Salesforce.com ou par Amazon. La stratégie Microsoft dans ce domaine s’appelle Azure. La plate-forme de services Azure proposera une version « cloud » de SQL Server et les services d’intégration seront assurés par SDS. Une entreprise pourra ainsi construire un entrepôt de données décisionnel totalement hébergé dans le « nuage »; SDS assurera les échanges de données entre l’application hébergée et les données stockées dans l’entreprise ou peut-être sur d’autres « nuages ». SDS devrait être disponible fin 2009 et une version Beta proposée en milieu d’année. Les services proposés par SDS devraient s’enrichir progressivement de fonctions de type ETL avec agrégations, transformations... mais également avec des fonctions de reporting et d’analyse des opérations d’intégration.
Principal argument à destination des services informatiques, l’absence de tâches d’installation, de maintenant, de mises à jour... vous louez l’accès à un logiciel (on est proche du modèle SaaS) mais également un espace de stockage de données, sans avoir à vous préoccuper des tâches de « back-office » informatique.
Seul bémol à ce tableau, les analystes sont partagés sur l’intérêt de ce modèle pour les entreprises. Ainsi Forrester vient de publier une étude prospective sur le marché des technologies SaaS. Autant l’analyste voit la progression de ce modèle sur les fonctions de l’entreprise qui nécessitent une forme de collaboration (conférences en ligne, CRM, gestion du capital humaine, sauvegarde en ligne...), en revanche l’analyste identifie deux marchés qui « connaîtront un succès limité en mode SaaS », la Business Intelligence et l’intégration de données. « Quoique certains aient adopté cette technologie au départ, les professionnels sont nombreux à rester sceptiques quant à son potentiel, surtout pour ce qui est du transfert de volumes importants et de données en temps réel », explique Forrester Research.
Principal argument à destination des services informatiques, l’absence de tâches d’installation, de maintenant, de mises à jour... vous louez l’accès à un logiciel (on est proche du modèle SaaS) mais également un espace de stockage de données, sans avoir à vous préoccuper des tâches de « back-office » informatique.
Seul bémol à ce tableau, les analystes sont partagés sur l’intérêt de ce modèle pour les entreprises. Ainsi Forrester vient de publier une étude prospective sur le marché des technologies SaaS. Autant l’analyste voit la progression de ce modèle sur les fonctions de l’entreprise qui nécessitent une forme de collaboration (conférences en ligne, CRM, gestion du capital humaine, sauvegarde en ligne...), en revanche l’analyste identifie deux marchés qui « connaîtront un succès limité en mode SaaS », la Business Intelligence et l’intégration de données. « Quoique certains aient adopté cette technologie au départ, les professionnels sont nombreux à rester sceptiques quant à son potentiel, surtout pour ce qui est du transfert de volumes importants et de données en temps réel », explique Forrester Research.
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