Un organisme international, “International Barcode of Life”, est chargé de collecter, identifier et conserver l’ADN de 500 000 espèces que l’on peut trouver sur terre, d’ici la fin de l’année 2015. L’objectif final est d’être une base de données exhaustive de l’ensemble des espèces de notre planète - il y en aurait environ 8,7 millions !
Ce consortium réunit des experts du Canada, des Etats-Unis, d’Allemagne et de Chine. Son objectif est de cartographier les espèces de la planète afin de les protéger, d’identifier les espèces en danger, mais aussi de suivre les proliférations éventuelles de certaines espèces. “En travaillant avec SAP, nous avons utilisé le ‘design thinking’ (ndlr : la réflexion s’appuyant sur la conception) afin d’identifier des manières nouvelles d’utiliser les données volumineuses et les technologies mobiles pour acquérir, analyser et partager de l’information sur les espèces et leur habitat, à un niveau global”, explique le Dr Paul Hebert, directeur de l’Institut de Biodiversité de l’Ontario.
Cette collaboration donnera naissance à des applications ouvertes au grand public. Dans un premier temps, les scientifiques amateurs pourront fournir des échantillons d’insectes et de plantes, et ainsi les identifier. A terme l’objectif est de permettre l’acquisition, l’identification et le partage de l’ADN d’une espèce à partir d’un appareil mobile.
Ce consortium réunit des experts du Canada, des Etats-Unis, d’Allemagne et de Chine. Son objectif est de cartographier les espèces de la planète afin de les protéger, d’identifier les espèces en danger, mais aussi de suivre les proliférations éventuelles de certaines espèces. “En travaillant avec SAP, nous avons utilisé le ‘design thinking’ (ndlr : la réflexion s’appuyant sur la conception) afin d’identifier des manières nouvelles d’utiliser les données volumineuses et les technologies mobiles pour acquérir, analyser et partager de l’information sur les espèces et leur habitat, à un niveau global”, explique le Dr Paul Hebert, directeur de l’Institut de Biodiversité de l’Ontario.
Cette collaboration donnera naissance à des applications ouvertes au grand public. Dans un premier temps, les scientifiques amateurs pourront fournir des échantillons d’insectes et de plantes, et ainsi les identifier. A terme l’objectif est de permettre l’acquisition, l’identification et le partage de l’ADN d’une espèce à partir d’un appareil mobile.
Autres articles
-
SAP donne aux développeurs les moyens de piloter la révolution de l’IA des métiers
-
Une nouvelle étude révèle une accélération de la migration vers SAP S/4HANA, malgré les défis persistants liés à l'automatisation
-
Akeneo permet aux entreprises de proposer des expériences produits optimales grâce à des flux de données intelligents pilotés par l’IA
-
SAP et Snowflake unissent leurs forces pour exploiter le plein potentiel des données et de l’IA d’entreprise au sein de la structure de données métier
-
Souveraineté de l’IA pour l’Allemagne et l’Europe : Deutsche Telekom lance l’une des plus grandes AI Factories d’Europe avec NVIDIA







