Qlik, (NASDAQ : QLIK), leader en matière d'analyse visuelle et le cabinet d’analyse et de conseil PAC, groupe CXP dévoilent les conclusions de leur tout premier baromètre 2016 sur le rôle de la donnée dans la transformation digitale de l’entreprise et l’évolution des Directeur des systèmes d'information.
L’année 2016 a vu l’essor et le succès des entreprises qui ont su mettre la donnée au cœur de leur stratégie. Pour autant, la transformation digitale d’une entreprise traditionnelle et plus particulièrement l’utilisation du digital comme avantage stratégique et compétitif, signifie d’abord remettre ses processus en question, investir dans les technologies adéquates et réfléchir aux nouvelles missions de la DSI. Le baromètre 2016 de Qlik et CXP tend à mettre en lumière le rôle des DSI dans un monde où la donnée est devenue le carburant de la transformation digitale des entreprises.
La donnée au cœur de la transformation digitale
La donnée est à la base de la création de nouveaux services, gisements de valeur et de nouveaux usages et joue un rôle crucial dans la transformation de l’entreprise.
Les directions informatiques sont conscientes de ce potentiel et mettent en place des solutions décisionnelles qui amènent une nouvelle façon de collecter et exploiter cette donnée. Ces enjeux se confirment puisque l’étude démontre que la quasi-totalité (98%) des entreprises qui ont engagé un ou plusieurs projets stratégiques de transformation digitale placent la donnée au cœur de ce projet.
La donnée est vue désormais comme un actif de l’entreprise, qu’il convient de maitriser au mieux et sur lequel s’appuyer pour se transformer et créer de nouvelles richesses.
En revanche, tout le monde n’a pas encore la pleine maitrise de cette donnée : c’est une compétence clé à développer pour 22% des répondants. Et seuls 10% considèrent la donnée comme une source directe de revenu.
La mise en place d’une stratégie data demande de revoir les processus de l’entreprise
84% des répondants pensent devoir repenser leurs processus organisationnels et solutions technologiques pour faire face aux nouveaux enjeux. Dans les 2 ans, des transformations majeures s’opéreront.
Au niveau organisationnel, ce phénomène de transformation digitale bouleverse les entreprises et les rôles se redistribuent, les DSI n’ayant plus le monopole des sujets techniques. Les métiers acquièrent de l’autonomie, souhaitent des projets plus courts, et de nouveaux profils font leur apparition – par l’embauche ou la redéfinition des postes en interne.
Le rôle mouvant de la DSI
Des initiatives portées par la direction générale
Si la plus grande partie des répondants se voient encore comme partenaire privilégié des métiers, un tiers d’entre eux constate qu’ils ne sont plus incontournables. En effet, la direction générale est à l’initiative de la transformation digitale la moitié du temps, puis les métiers prennent le lead dans beaucoup de projets liés à la donnée. La direction informatique est vue davantage comme une fonction support et un facilitateur plutôt qu’un élément moteur de la transformation digitale. On notera également que les opérationnels et les commerciaux sont souvent consultés et informés.
Des utilisateurs métiers de plus en plus autonomes
Les métiers sont de plus en plus autonomes par rapport à la donnée grâce à de nouveaux outils qui leur permettent d’explorer les données, et découvrir des tendances et des gisements de valeur, pour faire de la donnée un vecteur de croissance et d’innovation. Dès lors, la gouvernance des données se déporte vers les métiers plutôt que la DSI.
Les nouveaux métiers de la donnée
Une évolution s’opère dans la définition des responsabilités autour de la donnée et des postes se créent : des rôles se précisent, le poste de Chief Data Officer se développe avec une responsabilité plus importante compte tenu des multiples sujets à traiter autour de la donnée.
DSI et métiers, tous ont conscience de ces changements et de la nécessité d’évoluer rapidement pour prospérer dans ce nouveau contexte économique même si 56% d’entre eux n’ont pas encore refait de schéma directeur sur le décisionnel. Ainsi le rôle des DSI n’est-il pas encore figé ; ils peuvent s’ériger en partenaires indispensables des métiers dans leur transformation numérique basée sur la donnée. A condition de pouvoir relever un certain nombre de challenges organisationnels et techniques, et de privilégier l’agilité des projets et l’autonomie des métiers.
Parmi les investissements majeurs : la data visualisation
Lorsqu’on demande aux DSI quels sont les sujets technologiques sur lesquels ils comptent investir dans les deux prochaines années ils évoquent les technologies Big Data, l’analyse prédictive, le machine learning, la data visualisation.
La data visualisation est vue comme le passage obligé pour pouvoir rendre accessibles auprès des métiers les données issues des plates-formes Big Data, ainsi que les découvertes faites grâce aux algorithmes prédictifs.
« Le choix de Qlik pour le pilotage de nos activités nous permet de répondre avec agilité à nos besoins, pour s’adapter à la transformation de notre métier et prendre des décisions plus rapidement, » affirme Vincent Cadoret, DSI, Omnicom Media Group France.
« Une solution comme Qlik nous permet de mettre en place un véritable processus d’urbanisation, de détecter les failles en termes de qualité de données, et surtout de déployer des projets de manière très agile. Nous avons construit une application critique pour notre direction générale en moins de 48 heures » explique Philippe Minier, DSI de Kaufman & Broad.
« L’utilisateur devient innovant s’il est autonome dans la manipulation de ses données. Il a des idées que l’IT n’a pas, mais qu’elle peut mettre en œuvre avec un outil de BI agile comme Qlik. Avec une BI performante, il est possible de vendre à ses clients des services à valeur ajoutée qui font la différence face aux concurrents, » constate Philippe Le Coq, IT Manager d’Arvato SCM.
Méthodologie
Cette étude a été menée à partir d’un questionnaire en ligne d’une trentaine de questions, soumis entre le 15 février et le 15 mars 2016 aux responsables informatiques et décisionnels de sociétés de plus de 250 personnes par le cabinet PAC, groupe CXP. 129 réponses ont été récoltées en France (Chef de projet décisionnel ou Big Data, Responsables BI, DSI et Responsables SI, Data Scientist, Statisticien, Chief Data Officer)
L’année 2016 a vu l’essor et le succès des entreprises qui ont su mettre la donnée au cœur de leur stratégie. Pour autant, la transformation digitale d’une entreprise traditionnelle et plus particulièrement l’utilisation du digital comme avantage stratégique et compétitif, signifie d’abord remettre ses processus en question, investir dans les technologies adéquates et réfléchir aux nouvelles missions de la DSI. Le baromètre 2016 de Qlik et CXP tend à mettre en lumière le rôle des DSI dans un monde où la donnée est devenue le carburant de la transformation digitale des entreprises.
La donnée au cœur de la transformation digitale
La donnée est à la base de la création de nouveaux services, gisements de valeur et de nouveaux usages et joue un rôle crucial dans la transformation de l’entreprise.
Les directions informatiques sont conscientes de ce potentiel et mettent en place des solutions décisionnelles qui amènent une nouvelle façon de collecter et exploiter cette donnée. Ces enjeux se confirment puisque l’étude démontre que la quasi-totalité (98%) des entreprises qui ont engagé un ou plusieurs projets stratégiques de transformation digitale placent la donnée au cœur de ce projet.
La donnée est vue désormais comme un actif de l’entreprise, qu’il convient de maitriser au mieux et sur lequel s’appuyer pour se transformer et créer de nouvelles richesses.
En revanche, tout le monde n’a pas encore la pleine maitrise de cette donnée : c’est une compétence clé à développer pour 22% des répondants. Et seuls 10% considèrent la donnée comme une source directe de revenu.
La mise en place d’une stratégie data demande de revoir les processus de l’entreprise
84% des répondants pensent devoir repenser leurs processus organisationnels et solutions technologiques pour faire face aux nouveaux enjeux. Dans les 2 ans, des transformations majeures s’opéreront.
Au niveau organisationnel, ce phénomène de transformation digitale bouleverse les entreprises et les rôles se redistribuent, les DSI n’ayant plus le monopole des sujets techniques. Les métiers acquièrent de l’autonomie, souhaitent des projets plus courts, et de nouveaux profils font leur apparition – par l’embauche ou la redéfinition des postes en interne.
Le rôle mouvant de la DSI
Des initiatives portées par la direction générale
Si la plus grande partie des répondants se voient encore comme partenaire privilégié des métiers, un tiers d’entre eux constate qu’ils ne sont plus incontournables. En effet, la direction générale est à l’initiative de la transformation digitale la moitié du temps, puis les métiers prennent le lead dans beaucoup de projets liés à la donnée. La direction informatique est vue davantage comme une fonction support et un facilitateur plutôt qu’un élément moteur de la transformation digitale. On notera également que les opérationnels et les commerciaux sont souvent consultés et informés.
Des utilisateurs métiers de plus en plus autonomes
Les métiers sont de plus en plus autonomes par rapport à la donnée grâce à de nouveaux outils qui leur permettent d’explorer les données, et découvrir des tendances et des gisements de valeur, pour faire de la donnée un vecteur de croissance et d’innovation. Dès lors, la gouvernance des données se déporte vers les métiers plutôt que la DSI.
Les nouveaux métiers de la donnée
Une évolution s’opère dans la définition des responsabilités autour de la donnée et des postes se créent : des rôles se précisent, le poste de Chief Data Officer se développe avec une responsabilité plus importante compte tenu des multiples sujets à traiter autour de la donnée.
DSI et métiers, tous ont conscience de ces changements et de la nécessité d’évoluer rapidement pour prospérer dans ce nouveau contexte économique même si 56% d’entre eux n’ont pas encore refait de schéma directeur sur le décisionnel. Ainsi le rôle des DSI n’est-il pas encore figé ; ils peuvent s’ériger en partenaires indispensables des métiers dans leur transformation numérique basée sur la donnée. A condition de pouvoir relever un certain nombre de challenges organisationnels et techniques, et de privilégier l’agilité des projets et l’autonomie des métiers.
Parmi les investissements majeurs : la data visualisation
Lorsqu’on demande aux DSI quels sont les sujets technologiques sur lesquels ils comptent investir dans les deux prochaines années ils évoquent les technologies Big Data, l’analyse prédictive, le machine learning, la data visualisation.
La data visualisation est vue comme le passage obligé pour pouvoir rendre accessibles auprès des métiers les données issues des plates-formes Big Data, ainsi que les découvertes faites grâce aux algorithmes prédictifs.
« Le choix de Qlik pour le pilotage de nos activités nous permet de répondre avec agilité à nos besoins, pour s’adapter à la transformation de notre métier et prendre des décisions plus rapidement, » affirme Vincent Cadoret, DSI, Omnicom Media Group France.
« Une solution comme Qlik nous permet de mettre en place un véritable processus d’urbanisation, de détecter les failles en termes de qualité de données, et surtout de déployer des projets de manière très agile. Nous avons construit une application critique pour notre direction générale en moins de 48 heures » explique Philippe Minier, DSI de Kaufman & Broad.
« L’utilisateur devient innovant s’il est autonome dans la manipulation de ses données. Il a des idées que l’IT n’a pas, mais qu’elle peut mettre en œuvre avec un outil de BI agile comme Qlik. Avec une BI performante, il est possible de vendre à ses clients des services à valeur ajoutée qui font la différence face aux concurrents, » constate Philippe Le Coq, IT Manager d’Arvato SCM.
Méthodologie
Cette étude a été menée à partir d’un questionnaire en ligne d’une trentaine de questions, soumis entre le 15 février et le 15 mars 2016 aux responsables informatiques et décisionnels de sociétés de plus de 250 personnes par le cabinet PAC, groupe CXP. 129 réponses ont été récoltées en France (Chef de projet décisionnel ou Big Data, Responsables BI, DSI et Responsables SI, Data Scientist, Statisticien, Chief Data Officer)
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