Wolters Kluwer et sa solution experte de gestion financière, CCH® Tagetik dévoilent les résultats de leur enquête annuelle sur la Consolidation Statutaire, menée auprès de 70 entreprises en France (dont 90% de grands groupes).
La tendance observée en 2022 se confirme, avec un remplacement des solutions de consolidation bien engagé au sein des directions financières en réponse aux évolutions du secteur. Bien que 60% des responsables financiers interrogés se disent satisfaits de leur outil actuel, 68% des répondants ont prévu de changer leur outil de consolidation prochainement. C’est 10% de plus qu’en 2022. L’échéance de remplacement est également beaucoup plus proche, car seulement 45% envisagent cette évolution à long terme (au-delà de 2026), contre 77% en 2022!
Dans cette évolution, l’ergonomie et la simplicité d’utilisation reste un critère important pour guider le choix de la solution (78% le considèrent comme «important» ou «très important»), mais il est surclassé par le temps de traitement de la consolidation. En effet, les équipes financières doivent produire leurs comptes et leurs analyses de plus en plus rapidementet cherchent un outil qui leur fera gagner de précieuses heures. Par ailleurs, 42% des personnes interrogées ne disposent pas d’un processus unifié entre la consolidation statutaire et la gestion. Parmi eux, 9 sur 10 souhaitent faire évoluer leurs outils pour aller vers l’unification, réduisant ainsi le nombre d’interfaces, les coûts de licences et la complexité inhérente à la navigation entre deux systèmes de données déconnectés.
L’année écoulée est également marquée par une augmentation de 100% des projets de réconciliation des Intercos à la facture; ce processus confirme son importance pour les Directions Financières. En effet, 42% des répondants ont fait la réconciliation des intercos à la facture ou ont prévu de le faire, contre 21% en 2022. Un outil capable de fluidifier ce processus reste donc incontournable.
Consolidation, reporting et gestion sont encore compartimentés
Alors que le rôle des DAF s’est élargi au-delà de la gestion purement financière, avec la mesure de la réputation et de l’impact ESG, les entreprises ne sont pas encore équipées d’outils unifiant les différentes facettes de leur métier. Ainsi, 42% des répondants ne disposent pas d’un processus unifié entre la consolidation statutaire et la gestion! Par ailleurs, à l’heure où les exigences règlementaires se multiplient, en matière de reporting ESG et d’application de la directive relative au Pilier 2 (effective en 2024), seulement 23 % des répondants disposent d’un outil de consolidation statutaire leur permettant de produire des reportings ESG, CBCR et Pillar 2.
L’unification des processus est donc une piste clé à explorer pour réaliser un gain de temps et simplifier l’intégration des KPIs extra-financiers.
La tendance observée en 2022 se confirme, avec un remplacement des solutions de consolidation bien engagé au sein des directions financières en réponse aux évolutions du secteur. Bien que 60% des responsables financiers interrogés se disent satisfaits de leur outil actuel, 68% des répondants ont prévu de changer leur outil de consolidation prochainement. C’est 10% de plus qu’en 2022. L’échéance de remplacement est également beaucoup plus proche, car seulement 45% envisagent cette évolution à long terme (au-delà de 2026), contre 77% en 2022!
Dans cette évolution, l’ergonomie et la simplicité d’utilisation reste un critère important pour guider le choix de la solution (78% le considèrent comme «important» ou «très important»), mais il est surclassé par le temps de traitement de la consolidation. En effet, les équipes financières doivent produire leurs comptes et leurs analyses de plus en plus rapidementet cherchent un outil qui leur fera gagner de précieuses heures. Par ailleurs, 42% des personnes interrogées ne disposent pas d’un processus unifié entre la consolidation statutaire et la gestion. Parmi eux, 9 sur 10 souhaitent faire évoluer leurs outils pour aller vers l’unification, réduisant ainsi le nombre d’interfaces, les coûts de licences et la complexité inhérente à la navigation entre deux systèmes de données déconnectés.
L’année écoulée est également marquée par une augmentation de 100% des projets de réconciliation des Intercos à la facture; ce processus confirme son importance pour les Directions Financières. En effet, 42% des répondants ont fait la réconciliation des intercos à la facture ou ont prévu de le faire, contre 21% en 2022. Un outil capable de fluidifier ce processus reste donc incontournable.
Consolidation, reporting et gestion sont encore compartimentés
Alors que le rôle des DAF s’est élargi au-delà de la gestion purement financière, avec la mesure de la réputation et de l’impact ESG, les entreprises ne sont pas encore équipées d’outils unifiant les différentes facettes de leur métier. Ainsi, 42% des répondants ne disposent pas d’un processus unifié entre la consolidation statutaire et la gestion! Par ailleurs, à l’heure où les exigences règlementaires se multiplient, en matière de reporting ESG et d’application de la directive relative au Pilier 2 (effective en 2024), seulement 23 % des répondants disposent d’un outil de consolidation statutaire leur permettant de produire des reportings ESG, CBCR et Pillar 2.
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