Le tableur devance ainsi très largement les outils décisionnels dédiés (21 %), les navigateurs web (16 %) et les nouvelles interfaces graphiques interactives (13 %).
Ces dernières sont encore peu développées et n’ont pas pu réellement dévoiler leurs atouts aux utilisateurs ; Il sera intéressant de voir dans les années à venir si elles sont plutôt amenées à remplacer les outils décisionnels classiques ou les tableurs.
Les applications métiers ne sont pas véritablement considérées par les utilisateurs comme aptes à la restitution décisionnelle. Ils ne sont que 4 % à leur donner un rôle prépondérant.
La question posée portait sur la présentation des données décisionnelles. Le tableur reste le plus flexible et le plus personnalisable des outils. Même si les manipulations de données y sont parfois plus complexes que dans un outil dédié, les capacités de personnalisation fine des présentations lui confèrent un avantage certain. L’an dernier, les premières applications décisionnelles exportant leurs données vers Microsoft Powerpoint sont apparues, mais elles ne semblent pas encore avoir convaincu.
L’avenir semble donc sourire à court terme en tous cas aux tableurs, dont bien entendu au premier rang d’entre eux Microsoft Excel dont la version 12 annoncée pour la fin de cette année 2006 apportera de nouvelles fonctions de manipulation des données décisionnelles, dont les très attendus Excel Services. Les outils qui s'appuient sur des tableurs pourront également bénéficier de cet engouement (Temtec, Qlikview, Professional Planner ou Cubus pour les propriétaires, mais aussi Palo pour les ‘open source’) ainsi que les outils proches des tableurs comme Quantrix.
Ces dernières sont encore peu développées et n’ont pas pu réellement dévoiler leurs atouts aux utilisateurs ; Il sera intéressant de voir dans les années à venir si elles sont plutôt amenées à remplacer les outils décisionnels classiques ou les tableurs.
Les applications métiers ne sont pas véritablement considérées par les utilisateurs comme aptes à la restitution décisionnelle. Ils ne sont que 4 % à leur donner un rôle prépondérant.
La question posée portait sur la présentation des données décisionnelles. Le tableur reste le plus flexible et le plus personnalisable des outils. Même si les manipulations de données y sont parfois plus complexes que dans un outil dédié, les capacités de personnalisation fine des présentations lui confèrent un avantage certain. L’an dernier, les premières applications décisionnelles exportant leurs données vers Microsoft Powerpoint sont apparues, mais elles ne semblent pas encore avoir convaincu.
L’avenir semble donc sourire à court terme en tous cas aux tableurs, dont bien entendu au premier rang d’entre eux Microsoft Excel dont la version 12 annoncée pour la fin de cette année 2006 apportera de nouvelles fonctions de manipulation des données décisionnelles, dont les très attendus Excel Services. Les outils qui s'appuient sur des tableurs pourront également bénéficier de cet engouement (Temtec, Qlikview, Professional Planner ou Cubus pour les propriétaires, mais aussi Palo pour les ‘open source’) ainsi que les outils proches des tableurs comme Quantrix.