Le Kindle DX de Amazon
Si l’iPhone et le Blackberry sont trop petits, si le NetBook est trop encombrant et long à démarrer... pourquoi ne pas tester le Kindle proposé par Amazon. C’est en tous cas la direction choisie par Microstrategy qui se dit qu’un livre électronique, par son format intermédiaire et ses caractéristiques techniques peut se révéler un compromis intéressant.
Principal atout de ce terminal, son écran. Un peu moins de 10 pouces (l’équivalent d’un petit Netbook), il est surtout d’une technologie totalement différente. Destiné initialement à la lecture de livres, cet écran se veut un véritable papier électronique. La lisibilité est incontestablement meilleure que les écrans LCD, la consommation électrique beaucoup plus faible car seules les modifications de l’écran consomment de l’énergie, la fatigue des yeux est réduite car l’écran n’a pas besoin de rétroéclairage... il présente donc sur ce point les mêmes atouts qu’une feuille de papier.
Ou plus exactement qu’un énorme dossier, car avec une mémoire de 3,3 Go le Kindle DX permet d’emmener avec soi plus de 3500 livres... on imagine donc le volume de rapports et d’états qui peuvent y être conservés.
L’idée développée par Microstrategy est donc simple. Le Kindle accepte essentiellement des documents au format PDF. Il suffit donc de le charger de l’ensemble des documents auxquels vous devez avoir accès ou simplement que vous souhaitez avoir sous la main. Et si à la place des 3500 livres potentiels, vous chargez sur votre Kindle l’ensemble des rapports, documentations techniques, analyses... dont vous pouvez avoir besoin. Vous n’êtes alors plus tributaire d’une connexion réseau, les documents sont accessibles localement et instantanément. Il dispose cependant de connexions sans fil 3G, des documents peuvent ainsi lui être envoyés par email. On imagine l’envoi de rapports mis à jour où d’alertes, réalisé automatiquement à partir du serveur de l’entreprise.
Microstrategy a donc annoncé l’intégration de ce nouveau terminal dans son offre, et permettre à ses clients de recevoir sur leur Kindle DX au format PDF les documents créés par l’application décisionnelle. Attention, une véritable phase d’analyse interactive des rapports n’est pas envisageable. Les fonctions de navigation restent tributaires du format PDF.
Quelques points négatifs tout de même. Si l’écran du Kindle ne consomme de l’énergie que lorsqu’il change de page, la navigation dans des rapports qui sous-entend de nombreux allers-retours risque d’épuiser rapidement la batterie. Annoncée pour une utilisation de plusieurs jours consécutifs, la batterie risque de vous lâcher en pleine séance de travail.
Pour l’instant le Kindle ne propose qu’un écran à seize niveaux de gris. La disponibilité future d’un écran couleur permettrait la consultation de graphiques plus faciles à analyser. Mais le principal défaut est sans doute l’ajout d’un nouvel objet dans votre sac déjà bien rempli. Dédié à la consultation de vos rapports ce lecteur de livres électroniques (même s’il ne pèse que 500 grammes), sa pochette de transport, son adaptateur secteur... viendront s’ajouter aux iPhone, Blackberry, PC portable, GPS... et autres accessoires électroniques dont vous raffolez.
Mais par la qualité de son écran et son ergonomie presque simpliste, le lecteur de documents électroniques pourrait bien se généraliser comme support de lecture de documents éphémères (journaux, rapports) ou de référence (base de connaissance). Ne cherchez cependant pas encore à mettre en place cette solution en Europe, le Kindle n’est pour le moment commercialisé par Amazon qu’aux Etats-Unis. Mais d’autres lecteurs existent sur le marché français et pourraient profiter de ce nouveau marché. Certains pensent même que Apple pourrait y trouver la prochaine étape de son développement, mariant comme pour l’iPod et l’iPhone un terminal et un modèle économique de fourniture de contenu...
Principal atout de ce terminal, son écran. Un peu moins de 10 pouces (l’équivalent d’un petit Netbook), il est surtout d’une technologie totalement différente. Destiné initialement à la lecture de livres, cet écran se veut un véritable papier électronique. La lisibilité est incontestablement meilleure que les écrans LCD, la consommation électrique beaucoup plus faible car seules les modifications de l’écran consomment de l’énergie, la fatigue des yeux est réduite car l’écran n’a pas besoin de rétroéclairage... il présente donc sur ce point les mêmes atouts qu’une feuille de papier.
Ou plus exactement qu’un énorme dossier, car avec une mémoire de 3,3 Go le Kindle DX permet d’emmener avec soi plus de 3500 livres... on imagine donc le volume de rapports et d’états qui peuvent y être conservés.
L’idée développée par Microstrategy est donc simple. Le Kindle accepte essentiellement des documents au format PDF. Il suffit donc de le charger de l’ensemble des documents auxquels vous devez avoir accès ou simplement que vous souhaitez avoir sous la main. Et si à la place des 3500 livres potentiels, vous chargez sur votre Kindle l’ensemble des rapports, documentations techniques, analyses... dont vous pouvez avoir besoin. Vous n’êtes alors plus tributaire d’une connexion réseau, les documents sont accessibles localement et instantanément. Il dispose cependant de connexions sans fil 3G, des documents peuvent ainsi lui être envoyés par email. On imagine l’envoi de rapports mis à jour où d’alertes, réalisé automatiquement à partir du serveur de l’entreprise.
Microstrategy a donc annoncé l’intégration de ce nouveau terminal dans son offre, et permettre à ses clients de recevoir sur leur Kindle DX au format PDF les documents créés par l’application décisionnelle. Attention, une véritable phase d’analyse interactive des rapports n’est pas envisageable. Les fonctions de navigation restent tributaires du format PDF.
Quelques points négatifs tout de même. Si l’écran du Kindle ne consomme de l’énergie que lorsqu’il change de page, la navigation dans des rapports qui sous-entend de nombreux allers-retours risque d’épuiser rapidement la batterie. Annoncée pour une utilisation de plusieurs jours consécutifs, la batterie risque de vous lâcher en pleine séance de travail.
Pour l’instant le Kindle ne propose qu’un écran à seize niveaux de gris. La disponibilité future d’un écran couleur permettrait la consultation de graphiques plus faciles à analyser. Mais le principal défaut est sans doute l’ajout d’un nouvel objet dans votre sac déjà bien rempli. Dédié à la consultation de vos rapports ce lecteur de livres électroniques (même s’il ne pèse que 500 grammes), sa pochette de transport, son adaptateur secteur... viendront s’ajouter aux iPhone, Blackberry, PC portable, GPS... et autres accessoires électroniques dont vous raffolez.
Mais par la qualité de son écran et son ergonomie presque simpliste, le lecteur de documents électroniques pourrait bien se généraliser comme support de lecture de documents éphémères (journaux, rapports) ou de référence (base de connaissance). Ne cherchez cependant pas encore à mettre en place cette solution en Europe, le Kindle n’est pour le moment commercialisé par Amazon qu’aux Etats-Unis. Mais d’autres lecteurs existent sur le marché français et pourraient profiter de ce nouveau marché. Certains pensent même que Apple pourrait y trouver la prochaine étape de son développement, mariant comme pour l’iPod et l’iPhone un terminal et un modèle économique de fourniture de contenu...
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