Rhodia choisit Keyrus pour développer et déployer à l’échelle du groupe son reporting sous SAP BW

« L’un des enjeux majeurs de l’entreprise aujourd’hui est l’excellence opérationnelle », observe Jacques-Benoît LE BRIS, Directeur Business Intelligence chez Rhodia, ce qui implique d’être en permanence au fait des évolutions réglementaires en contrôlant les processus, en identifiant les responsabilités et en analysant les performances.

« Dans le cadre du déploiement d’un ERP Core System Mondial, Rhodia a porté son choix sur le module BW de SAP », explique Christophe AUDEFROY, Responsable groupe du centre de compétences BW chez Rhodia. « L’ensemble des reporting opérationnels concernant la logistique, les achats, le transport, la finance et la qualité ont été reportés sur cette suite. Il a ainsi été nécessaire, après le déploiement réussi de l’ERP, de renforcer l’équipe dédiée au reporting ».

Rhodia, qui utilisait jusque-là l’éditeur comme intégrateur, a opté cette fois-ci de se tourner vers la société Keyrus en raison de son leadership dans le domaine de la Business Intelligence et de sa solide expérience sur les projets décisionnels autour de SAP BW.

KEYRUS SEDUIT RHODIA PAR SON EXPERTISE ET SON RESEAU MONDIAL



Soucieux de rationaliser la gestion de ses prestataires en privilégiant le meilleur intervenant, Rhodia a confié à Keyrus l’ensemble de son projet décisionnel autour de SAP. Suite à un premier projet réalisé pour la fonction « achat », Rhodia a souhaité que Keyrus l’accompagne dans l’extension de ce modèle de reporting aux autres fonctions de l’entreprise. Que ce soit en développement ou en support au déploiement mondial, Keyrus a su répondre globalement et efficacement à l’ensemble de la problématique Rhodia, allant de la conception du projet au support de plus d’un millier d’utilisateurs au niveau mondial.

Cette collaboration transnationale a été facilitée par la dimension internationale de Keyrus dont la filiale brésilienne Etica Software a pu collaborer étroitement avec le responsable Business Intelligence mondial de Rhodia, lui-même basé au Brésil.

Ainsi dès l’origine du projet, Keyrus a créé un centre de compétences réparti sur plusieurs zones géographiques correspondant aux différentes implantations de Rhodia. Le projet a donc impliqué des équipes pluridisciplinaires, internationales et complémentaires basées à Lyon (siège de la Direction des Systèmes d’Information du groupe Rhodia), à Paris et à Sao Paulo au Brésil. Cette organisation a permis de déployer successivement le projet en France, en Europe et aujourd’hui aux Etats-Unis.



« Nous avons choisi Keyrus avec l’objectif de transformer une simple prestation en mise en place d’un centre de compétences pour le développement, la production et l’exploitation de notre application décisionnelle », déclare Christophe AUDEFROY. « Mettre en place un outil de reporting et de Business Intelligence à partir d’un ERP et garantir un succès utilisateur supposent des équipes expertes, fonctionnellement et techniquement, rompues à déployer SAP BW et aptes à l’adapter au cas précis de l’entreprise. Entre la démonstration réalisée par l’éditeur et la réelle utilisation par l’utilisateur final, il est nécessaire de fournir un effort important.»

En outre, Keyrus a répondu aux attentes de rationalisation des coûts exprimées par Rhodia en dédiant au Brésil une équipe pour l’assister aux Etats-Unis pendant toute la mise en place de SAP BW et en créant un centre commun de formation. « Les formations à SAP BW sont longues et onéreuses. Aussi, afin de mutualiser les coûts, avons-nous constitué un centre de formation partagé pour nos collaborateurs et ceux de Rhodia », indique Olivier CHANOUX, Account Manager chez Keyrus.

« Keyrus s’est différencié par son approche de projet au forfait, sa dynamique d’accompagnement à l’international et sa capacité à fidéliser ses collaborateurs experts autour de la technologie SAP BW. Sur l’année 2007, Rhodia s’appuiera donc tout naturellement sur Keyrus pour assurer le déploiement du projet américain puis du support utilisateurs à partir du Brésil », conclut Jacques-Benoît LE BRIS.