Salesforce, le leader mondial des solutions de gestion de la relation client intégrées à l’IA, dévoile les résultats de sa nouvelle enquête menée par Salesforce révèle un paradoxe inquiétant : alors que l’IA impose à tous d’être “data-driven”, la majorité des décideurs admettent ne plus faire confiance aux données qu’ils utilisent. Un paradoxe d’autant plus préoccupant que nombre de dirigeants disent ne pas se sentir suffisamment outillés pour rechercher, analyser et interpréter les données dont ils ont besoin, dans un environnement où la pression concurrentielle ne cesse de s’intensifier.
Face à un climat économique incertain, une confiance en berne et des vagues de réduction de coûts, les entreprises et leurs dirigeants ont besoin d’informations fiables et précises pour prendre des décisions agiles et réfléchies. Or, moins de la moitié des dirigeants déclarent que leur stratégie de données — c’est-à-dire la manière dont les données sont collectées, gérées, stockées et accessibles — est pleinement alignée avec leurs priorités business, soit une baisse significative depuis 2023.
« Dans un contexte d’hypercompétition, les dirigeants sont de plus en plus sommés de justifier chaque décision par des données », déclare Southard Jones, Chief Product Officer chez Tableau.« Mais la fragmentation des systèmes et la complexité des outils d’analyse freinent encore trop souvent l’accès à une information fiable et exploitable. L’analytique par l’IA agentique ouvre une nouvelle voie : en unifiant les données et en mobilisant des agents IA capables de fournir de manière proactive des insights contextualisés et en temps réel, elle démocratise la prise de décision éclairée — y compris pour ceux qui ne se considèrent pas comme des experts de la donnée. »
Quelques chiffres clés :
L’utilisation croissante des données s’accompagne d’une baisse de la confiance.
76 % des dirigeants ressentent une pression croissante pour appuyer leurs arguments avec des données.
57 % se sentent en concurrence avec leurs collègues pour prouver leur valeur via les données — un phénomène encore plus marqué chez les cadres supérieurs (VP, cadres dirigeants…).
L’essor de l’IA ne fait qu’accentuer l’impératif d’une prise de décision fondée sur les données : 76 % des dirigeants déclarent que son développement les oblige à adopter une approche plus data-driven - un sentiment encore plus marqué chez les responsables du service client (93 %), du marketing (83 %) et des ressources humaines (80 %).
Et pourtant, malgré le rôle croissant et stratégique des données, les dirigeants se montrent aujourd’hui nettement moins confiants dans leur capacité à s’y fier qu’en 2023. La pertinence des données par rapport aux objectifs business perd 18 points, tandis que la confiance dans leur exactitude chute de 27 points.
Les personnes “non-spécialistes” des données risquent de prendre du retard.
Sans surprise, 72 % des dirigeants estiment que leur évolution de carrière dépend désormais de leur capacité à s’appuyer sur des données pour orienter leurs décisions.
Mais 86 % vont plus loin : selon eux, c’est leur maîtrise des outils et méthodes d’analyse — autrement dit leur culture data — qui conditionne leur avenir professionnel. Cette pression est particulièrement forte chez les professionnels des ventes (90 %) et du marketing (89 %).
Et pourtant, 63 % doivent trouver, analyser et interpréter les données par eux-mêmes, 54 % ne se sentent pas pleinement confiants pour le faire. En réalité, moins de la moitié se sentent capables d'utiliser les données pour prendre des décisions et passer à l’action, de générer des insights opportuns, ou de les exploiter efficacement au quotidien.
L’analyse agentique : un tournant pour les décisions pilotées par les données.
90 % des dirigeants affirment qu’un accès direct aux données, intégré dans les outils qu’ils utilisent au quotidien, améliorerait significativement leur efficacité. Et 86 % affirment qu’ils consulteraient plus souvent les données si celles-ci étaient accessibles directement dans leurs outils de travail quotidiens — sans avoir à basculer vers une autre plateforme ou interrompre leur activité.
Au-delà d’un simple accès facilité, les dirigeants aspirent à pouvoir interroger leurs données aussi simplement qu’ils discuteraient avec un collègue. 85 % estiment qu’ils seraient plus efficaces s’ils pouvaient poser leurs questions en langage naturel, sans avoir à passer par des interfaces techniques ou des compétences spécialisées.
C’est précisément ce que permettent les agents d’IA : des logiciels capables de raisonner et d’agir de manière autonome. Une fois exposés à cette technologie, les dirigeants se montrent largement convaincus par leur potentiel à démocratiser l’accès aux données, générer des insights plus rapides, lever les blocages liés à l’analyse, et même dépasser les objectifs fixés.
Face à un climat économique incertain, une confiance en berne et des vagues de réduction de coûts, les entreprises et leurs dirigeants ont besoin d’informations fiables et précises pour prendre des décisions agiles et réfléchies. Or, moins de la moitié des dirigeants déclarent que leur stratégie de données — c’est-à-dire la manière dont les données sont collectées, gérées, stockées et accessibles — est pleinement alignée avec leurs priorités business, soit une baisse significative depuis 2023.
« Dans un contexte d’hypercompétition, les dirigeants sont de plus en plus sommés de justifier chaque décision par des données », déclare Southard Jones, Chief Product Officer chez Tableau.« Mais la fragmentation des systèmes et la complexité des outils d’analyse freinent encore trop souvent l’accès à une information fiable et exploitable. L’analytique par l’IA agentique ouvre une nouvelle voie : en unifiant les données et en mobilisant des agents IA capables de fournir de manière proactive des insights contextualisés et en temps réel, elle démocratise la prise de décision éclairée — y compris pour ceux qui ne se considèrent pas comme des experts de la donnée. »
Quelques chiffres clés :
L’utilisation croissante des données s’accompagne d’une baisse de la confiance.
76 % des dirigeants ressentent une pression croissante pour appuyer leurs arguments avec des données.
57 % se sentent en concurrence avec leurs collègues pour prouver leur valeur via les données — un phénomène encore plus marqué chez les cadres supérieurs (VP, cadres dirigeants…).
L’essor de l’IA ne fait qu’accentuer l’impératif d’une prise de décision fondée sur les données : 76 % des dirigeants déclarent que son développement les oblige à adopter une approche plus data-driven - un sentiment encore plus marqué chez les responsables du service client (93 %), du marketing (83 %) et des ressources humaines (80 %).
Et pourtant, malgré le rôle croissant et stratégique des données, les dirigeants se montrent aujourd’hui nettement moins confiants dans leur capacité à s’y fier qu’en 2023. La pertinence des données par rapport aux objectifs business perd 18 points, tandis que la confiance dans leur exactitude chute de 27 points.
Les personnes “non-spécialistes” des données risquent de prendre du retard.
Sans surprise, 72 % des dirigeants estiment que leur évolution de carrière dépend désormais de leur capacité à s’appuyer sur des données pour orienter leurs décisions.
Mais 86 % vont plus loin : selon eux, c’est leur maîtrise des outils et méthodes d’analyse — autrement dit leur culture data — qui conditionne leur avenir professionnel. Cette pression est particulièrement forte chez les professionnels des ventes (90 %) et du marketing (89 %).
Et pourtant, 63 % doivent trouver, analyser et interpréter les données par eux-mêmes, 54 % ne se sentent pas pleinement confiants pour le faire. En réalité, moins de la moitié se sentent capables d'utiliser les données pour prendre des décisions et passer à l’action, de générer des insights opportuns, ou de les exploiter efficacement au quotidien.
L’analyse agentique : un tournant pour les décisions pilotées par les données.
90 % des dirigeants affirment qu’un accès direct aux données, intégré dans les outils qu’ils utilisent au quotidien, améliorerait significativement leur efficacité. Et 86 % affirment qu’ils consulteraient plus souvent les données si celles-ci étaient accessibles directement dans leurs outils de travail quotidiens — sans avoir à basculer vers une autre plateforme ou interrompre leur activité.
Au-delà d’un simple accès facilité, les dirigeants aspirent à pouvoir interroger leurs données aussi simplement qu’ils discuteraient avec un collègue. 85 % estiment qu’ils seraient plus efficaces s’ils pouvaient poser leurs questions en langage naturel, sans avoir à passer par des interfaces techniques ou des compétences spécialisées.
C’est précisément ce que permettent les agents d’IA : des logiciels capables de raisonner et d’agir de manière autonome. Une fois exposés à cette technologie, les dirigeants se montrent largement convaincus par leur potentiel à démocratiser l’accès aux données, générer des insights plus rapides, lever les blocages liés à l’analyse, et même dépasser les objectifs fixés.
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