L’an dernier, j’ai upgradé PetiteAmie 5.0 et je suis passé à PetiteAmie 5.1 qui s’est installé en tant que Fiancé 1.0. Récemment, j’ai encore upgradé Fiancé 1.0 en Femme 1.0 et j’ai été frappé par la quantité de mémoire dévorée. Femme 1.0 prend tout l’espace disponible et exige d’être activé avant que n’importe quoi d’autre soit lancé.
De plus, Femme 1.0 génère des processus enfants qui consomment beaucoup de ressources système. Certaines applications vitales, comme NuitauBowling 5.3, SoiréeBeuverie 12.1, NuitenBoite 3.1, ou SexeOrgiaque 7.2 ne parviennent même plus à fonctionner ! D’autres se voient fortement ralenties, comme MatchdeFoot 10.5 ou BonneChopedeBière 20.45. Certains plug-ins sont ajoutés d’office, comme BelleMère 55.8 et BeauFrère (version bêta), et il n’y a aucune désinstallation possible.
Aucune mention de ces problèmes et ajouts n’apparaît dans la documentation, même si d’autres utilisateurs les ont aussi rencontrés. Par-dessus le marché, le logiciel s’altère avec le temps qui passe, en plus des perturbations périodiques. Certaines personnes de ma connaissance ont décidé de s’éviter les maux de tête, et de passer de PetiteAmie 5.0 à PetiteAmie 6.0. Cependant cette opération reste risquée : il faut absolument supprimer toute trace de l’installation précédente de PetiteAmie 5.0. Et même dans ce cas, PetiteAmie 6.0 fera périodiquement des vérifications du système, en général en arrière-plan et tard la nuit quand le système est endormi, pour trouver des traces de versions précédentes. Le seul moyen apparemment de supprimer cette gêne est de céder aux répétitifs écrans d’invite qui pousse au passage à Femme 1.0.
Des corrections et ajouts pourraient être faits dans une version ultérieure PetiteAmie 6.1
• Un bouton « ne pas me le rappeler »
• Un bouton pour minimiser PetiteAmie
• Une fonction de shutdown
• Une fonction de désinstallation automatique, en effet la désinstallation manuelle, pénible, est risquée et peut conduire à la perte de nombreux objets du système.
Hélas, comme je suis passé à Femme 1.0, je ne pourrai pas profiter de ces nouvelles fonctions, à moins qu’elles soient incluses dans la prochaine version de Maîtresse. Évidement il y a de gros problèmes si l’on fait tourner sur le même système Femme 1.0 et Maîtresse 1.0. Le plus évident sont les conflits qui apparaissent dès que Femme 1.0 a détecté Maîtresse 1.0. Dans ce cas Femme 1.0, efface tous les fichiers MS Money avant de se désinstaller tout seul. Par la suite, Maitresse 1.0 refuse de continuer à tourner par manque de ressources disponibles.
Dans certains cas, Maîtresse 1.0 accepte de tourner, mais exige que l’utilisateur prenne une licence pour Femme 2.0, qui souffre des mêmes tares que la version précédente. Seule l’interface est un peu rafraîchie. Selon certains, la version 2.0 de Maîtresse souffrirait des mêmes incompatibilités que la version 1.0. Inutile donc de chercher le salut de ce côté. Signalons cependant que certains aventuriers adeptes de la haute voltige parviennent à faire cohabiter sans trop de heurts sur le même système Femme 1.0, Maîtresse 1.0 et Maîtresse 2.0 !
Finalement je trouve que tous ces outils et conflits trop pénibles et coûteux en temps. Je suis revenu au bon vieux ChienChien 1.0b3, qui bave et mâche les journaux, mais ces bugs restent tolérables quand on les connaît bien. C’est facile et ça marche bien.
Rédigé par Michel Bruley le Samedi 16 Septembre 2023 à 10:27
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Quelle est la différence entre un homme et une prison ?
Dans une prison, il y a des cellules grises.
Comment appelle-t-on un homme qui a perdu son intelligence ?
Un veuf.
Pourquoi Dieu a-t-il créé l’homme ?
Parce qu’un vibromasseur ne sait pas tondre le gazon.
Pourquoi les hommes sont comme les places de parking ?
Les bons sont toujours pris et ceux qui restent sont pour les handicapés.
Comment savoir si un homme a eu un orgasme ?
Il roule sur le côté et commence à ronfler.
Qu’est-ce que les Ovnis et les hommes intelligents ont en commun ?
Tout le monde en parle, mais personne ne les a jamais vus.
Quelle est la différence entre un homme, une cravate et une ceinture ?
La cravate serre le cou, la ceinture serre la taille,l’homme sert à rien.
Pourquoi les hommes portent-ils la cravate ?
Ça a l’air moins con qu’une laisse.
Les hommes c’est comme de l’essence !
Des pieds à la ceinture, c’est du Super,
De la ceinture aux épaules, c’est de l’Ordinaire,
Et des épaules à la tête, c’est du Sans Plomb.
Les hommes, c’est comme la lettre Q !
Un gros zéro avec une petite queue.
Dieu a créé les femmes belles et stupides !
Belles pour que les hommes puissent les aimer, et stupides pour qu’elles puissent aimer les hommes.
Pourquoi les femmes ne veulent-elles plus se marier ?
Elles préfèrent avoir du bacon dans le frigidaire plutôt qu’un gros porc dans le salon.
Quelle est la différence entre un homme et une tasse de café ?
Y’en a pas, les deux tapent sur les nerfs.
Quelle est la différence entre un homme et une tempête de neige ?
Aucune. On ne sait jamais combien de centimètres il va y avoir et combien de temps ça va durer.
Pourquoi les hommes sifflent mieux que les femmes ?
Parce qu’ils ont une cervelle d’oiseau.
Les hommes, c’est comme les grenouilles !
Ça pense juste à sauter.
Un homme c’est comme une vidéo !
Avance, recule, avance, recule, stop, éject.
Au commencement était le verbe. Et le verbe était Dieu. Et les français élevèrent une objection officielle. Le délégué fit état d’un accord antérieur donnant au Comité de Rédaction la responsabilité des questions grammaticales, et en conséquence il demandait la suppression du texte et son remplacement par : Chapitre 1 section 1.1 article 1.1.1 : « Dieu ». Et la Norvège vota « non ». Le domaine d’application de l’univers leur semblaient trop étendu, et ils demandaient des précisions avant de pouvoir voter « oui ». Les allemands voulaient au contraire que ce domaine d’application soit élargi, pour inclure les mots « et locaux analogues ». Les anglais annoncèrent qu’il mettaient en doute la faisabilité technique de l’Obscurité, ce qui conduit à une totale confusion dans les discussions. Puis il y eu un dîner et ce fut la fin du premier jour.
Le 2° jour, les japonais distribuèrent une nouvelle proposition intitulée « let there be right » (que justice soit faite). Cette proposition ne souleva aucune objection (le corps du document était rédigé en japonais), mais on s’aperçut ensuite qu’en réalité c’était « let there be light » (que la lumière soit). Et c’est ainsi que la lumière devint une caractéristique exigée.
Le 3° jour, les hollandais annoncèrent soudain qu’ils ne pouvaient pas accepter que la lumière soit exigée et insistèrent pour qu’il soit permis à lumière et obscurité de coexister. Un groupe de travail ad hoc fut constitué avec les experts disponibles pour examiner ce problème, ce qui interrompit les autre travaux faute de participants.
Au matin du 4° jour, le groupe ad hoc rendit ses conclusions, suivant lesquelles ce n’était pas possible en l’état actuel de la technologie. Une proposition italienne fut alors acceptée sans opposition (pendant que tous les autres étaient partis boire un café sur la passerelle), permettant à lumière et obscurité d’exister par périodes alternées. Cependant, il n’eut pas d’accord sur le nom de ces périodes. Pour finir, le compromis se fit pour appeler la période de lumière Type A : Interface Universelle Panchromatique (classe I). Pour la période d’obscurité, on adopta Type B : à l’étude.
Le 5° jour, il était prévu de discuter de la flore le matin et de la faune l’après-midi. Mais à l’heure du déjeuner, seules les algues « vert bleu » avaient été acceptées. Il fut décidé de confier le travail ultérieur sur les plantes au délégué finlandais, qui a identifié depuis 689 362 types distincts de champignons. Dans l’après-midi, les propositions concernant la faune furent examinées. 5 types furent définis, avec les appellations provisoires : « insectes », « poissons », « oiseaux des airs », « bêtes des champs » et « réalisations privées ». Trois options furent acceptées : « mâle », « femelle » et « neutre ». Le délégué anglais soutint que, pour la simplification de la norme, une seule option (la troisième) devrait être autorisée. Cette proposition fut rejetée après une discussion animée sur les « conditions particulières à certains pays ».
Le 6° jour, la matinée fut consacrée à la révision de l’ordre du jour, car plusieurs délégués désiraient partir à midi. L’après-midi, il y eu une bataille acharnée mais fructueuse sur le problème des langues. Finalement, un accord se réalisa pour que le texte de référence soit écrit en Araméen, puis traduit via le Grec et sous Word en Anglais et Français. Les deux textes peuvent différer, mais ils doivent utiliser la même numérotation et la même présentation.
Le Président annonça qu’il n’y aurait pas de réunion le 7° jour (faute de participants) et félicita les délégations pour le travail effectué. Il conclut par une vibrante plaidoirie pour une accélération foudroyante des procédures afin de réduire les délais de publication, qui, d’après le Bureau Central, seraient aujourd’hui d’environ 15 milliards d’années.
La formation étant l’une des clés du succès, un groupe de dirigeants a été invité à assister à un concert symphonique au Royal Albert Hall de Londres. Puis, réunis au siège de leur société, ils ont été conviés à faire des propositions d’organisation. Ils rédigèrent un rapport dont voici quelques extraits :
« Pendant de longues périodes, les quatre joueurs de hautbois jouaient à l’unisson, c’est-à-dire des notes identiques. Le personnel de cette section doit être réduit et le travail mieux réparti sur la durée du concert, de manière à éliminer les pointes d’activités ».
« Les douze premiers violons jouaient à l’unisson, c’est-à-dire des notes identiques. Le personnel de cette section doit subir des réductions massives ; si une grande intensité sonore est requise, on peut l’obtenir à l’aide d’amplificateurs appropriés ».
« Le coefficient d’utilisation du triangle est extrêmement faible. On a intérêt à utiliser plus largement cet instrument, et même à en prévoir plusieurs. Son prix étant bas, l’investissement correspondant serait très rentable ».
« Le remplacement du piano à queue par un piano droit, moins encombrant, permettrait d’utiliser plus rationnellement l’aire de stockage du magasin de rangement des instruments ».
« Il est recommandé de normaliser la durée de toutes les notes en la ramenant à la double croche la plus rapprochée. De la sorte, on pourra dans une plus large mesure faire appel à des exécutants de qualification moins élevée ».
« Il est tout à fait inutile de faire répéter aux instruments à vent des passages déjà exécutés par ceux à cordes. On peut estimer que, si tous les passages redondants étaient supprimés, la durée du concert pourrait être ramenée à 20 minutes, ce qui réduirait les frais généraux (économie de chauffage, surveillance, usure des fauteuils …) ».
ETAPE 1 : Acheter une dinde d’environ 5 kg pour 6 personnes et une bouteille de whisky, du sel, du poivre, de l’huile d’olive, des bardes de lard.
ETAPE 2 : Barder la dinde de lard, la ficeler, la saler, poivrer et ajouter un filet d’huile d’olive.
ETAPE 3 : Faire préchauffer le four thermostat 7 pendant 10 minutes.
ETAPE 4 : Se verser un verre de whisky pendant ce temps là.
ETAPE 5 : Mettre la dinde au four dans un plat de cuisson.
ETAPE 6 : Se verser 2 verres de whisky et les boire.
ETAPE 7 : Mettre le therpostat à 8 après 20 binutes pour le saisir.
ETAPE 8 : Se bercer encore 3 berres de whisky.
ETAPE 9 : Après une debi beurre, fourrer l’ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.
ETAPE 10 : Brendre la vouteille de biscuit et s’enfiler une bonne rasade derrière la bravat non-la cravate.
ETAPE 11 : Après une demie heure de blus, tituber jusqu’au bour. Ouvrir la putain de borte du bour et reburner-non-revourner-non-recourner-non-enfin mettre la guinde dans l’autre sens.
ETAPE 12 : Se pruler la main avec la putain de borde du bour en la refermant-bordel de merde.
ETAPE 13 : Essayer de s’asseoir sur une putain de chaise et se reverdir 5 ou 6 whisky de verres ou le gontraire, je sais blus.
ETAPE 14 : Buire-non-luire-non-cuire-non-ah ben si -cuire la bringue bandant 4 heures.
ETAPE 15 : Et hop, 5 berres de blus. Ca fait du bien par où ça passe !
ETAPE 16 : R’tirer le four de la pinde.
ETAPE 17 : Se rebercer une bonne goulée de whisky.
ETAPE 18 : Essayer de sortir le bour de la saloperie de pinde de nouveau parce que ça a raté la bremière fois.
ETAPE 19 : Rabasser la pinde qui est tombée bar terre ! L’ettuyer avec une saleté de chiffon et la foutre sur un blat-non-sur un clat ou sur une assiette. Enfin on s’en fout... ! !
ETAPE 20 : Se péter la gueule à cause du gras déposé sur le barrelage ou le carrelage de la buisine et essayer de se relever.
ETAPE 21 : Décider que l’on est aussi bien bar terre et binir la vouteille de biscuit...
ETAPE 22 : Ramper jusqu’au lit et essayer de dorbir toute la nuit !
ETAPE 23 : Manger la dinde froide le lendemain avec une bonne mayonnaise puis nettoyer le bordel mis dans la cuisine la veille pendant le reste de la journée ! ! !
Un schéma directeur a pour but de donner des orientations de manière prospective afin de définir de manière « macro » l'articulation de la réalisation d’objectifs dans le temps. Il consiste en l'élaboration d'un plan permettant de mettre en place un scénario retenu sur une période de 2 à 5 ans. Dans une entreprise, tout part de la stratégie et pour traduire la vision en une feuille de route d'évolution on fait des schémas directeurs par fonction.
La pratique du schéma directeur a commencé à être appliquée pour planifier le développement des systèmes d’information, notamment avec l’élaboration en 1976 de la méthode "RACINES". Dès lors, le schéma directeur informatique est devenu une étape majeure pour la définition, la formalisation, la mise en place ou l'actualisation d'un système d’information pour supporter une stratégie donnée.
L’arrivée massive dans les années 90 des progiciels a modifié profondément les approches de type « RACINES ». À titre d’illustration l’une de mes dernières propositions selon cette méthode en 1992, il y a quarante ans : cliquez ici
Le marketing lors de ces trente dernières années a beaucoup évolué. Il a en particulier été très conditionné par la possibilité offerte par l’informatique de s’adresser directement à chaque client individuellement, ce qui a permis le développement du fameux 1:1 marketing.
J’ai eu l’occasion de découvrir les prémices du 1:1 Marketing fin 1994 à l’occasion d’un séminaire animé par Martha Rogers. À cette époque les principales idées de cette approche n’étaient qu’à l’état d’esquisse mais on sentait que la piste était bonne. Quatre ans plus tard j’ai formalisé une présentation ppt de synthèse qui détaille toutes les idées : cliquez-ici
Face à l’exigence de maîtrise de l’information concernant leur environnement, les entreprises doivent développer une approche d’Intelligence économique.
Il s’agit à la fois d’un mode de pensée, l’information doit être créée et valorisée et d’un mode d’action, l’information doit être partagée et utilisée à bon escient.
La pratique de l’intelligence économique s’appuie sur quatre idées fondamentales :
• la maîtrise des connaissances : connaître et protéger,
• la compréhension des opportunités, des risques et des menaces,
• la coordination des acteurs et des activités,
• la stratégie d’influence.
Pour aller plus loin, vous pouvez accéder à une présentation d’une douzaine de vues : cliquez ici
« Une stratégie est la manière d'élaborer, de diriger et de coordonner des plans d'action afin d'aboutir à un objectif déterminé, programmé sur le court ou le long terme. Le but principal étant d'éviter le pilotage à vue, une stratégie doit être appliquée et apporter des résultats positifs ».
La présentation à télécharger traite de l’apprentissage stratégique :
• Comment définir une stratégie gagnante ?
• Stratégie : définition
• Cycle d’apprentissage stratégique
• Analyser la situation
• Choix stratégiques & vision
• Aligner l’organisation, mettre en œuvre
• Points clés d’une stratégie
• Fiche stratégique
Pour télécharger, cliquez ici
Il y a vingt-cinq siècles, dans la Chine des “ Royaumes Combattants ”, était rédigé le premier traité de “ L’Art de la Guerre ”.
Sur son auteur, SUN TZU, l’Histoire ne fournit que quelques traits biographiques et peut-être sont-ils mêlés de légendes.
Originaire du Royaume de CH’I, il serait passé au service du Roi de Wu et en aurait commandé les armées avec un constant succès.
Son ouvrage “ L’Art de la Guerre ”, d’une concision admirable et toujours perceptible malgré les adjonctions des commentateurs, a été et demeure au centre de la pensée militaire extrêmeorientale. Au Japon, où il a été connu au plus tard au VIIIe siècle de notre ère, il a inspiré, après les guerriers féodaux, les officiers de l’armée impériale et Pearl Harbor a été une application de sa maxime fondamentale : “ Tout l’art de la guerre repose sur la duperie ”.
Au contraire de CLAUSEWITZ, SUN TZU ne voit pas dans la grandiose bataille d’anéantissement le sommet de l’art du stratège. Si l’on peut détruire l’ennemi, l’on se jette sur lui ; mais la “ duperie ”, c’est-à-dire la guerre totale du mensonge, peut faire mieux encore. Elle peut dénaturer les réflexes de l’adversaire de telle sorte que celui-ci se trouve paralysé au jour décisif : “ Ainsi ceux, qui sont experts dans l’art de la guerre, soumettent l’armée ennemie sans combat. Ils prennent les villes sans donner l’assaut et renversent un État sans opérations prolongées ”. MAO TSE TUNG, disciple de SUN TZU, a écrit : “ Il faut dérouter ceux qui conduisent l’ennemi, les égarer, si possible leur faire perdre la raison ”.
La pensée de SUN TZU a franchi les âges et les continents. J’ai fait en 1980 le résumé ci-après, à partir de la version de “ L’Art de la Guerre ” publiée par le général américain Samuel B. Griffith : cliquez ici.
Sur son auteur, SUN TZU, l’Histoire ne fournit que quelques traits biographiques et peut-être sont-ils mêlés de légendes.
Originaire du Royaume de CH’I, il serait passé au service du Roi de Wu et en aurait commandé les armées avec un constant succès.
Son ouvrage “ L’Art de la Guerre ”, d’une concision admirable et toujours perceptible malgré les adjonctions des commentateurs, a été et demeure au centre de la pensée militaire extrêmeorientale. Au Japon, où il a été connu au plus tard au VIIIe siècle de notre ère, il a inspiré, après les guerriers féodaux, les officiers de l’armée impériale et Pearl Harbor a été une application de sa maxime fondamentale : “ Tout l’art de la guerre repose sur la duperie ”.
Au contraire de CLAUSEWITZ, SUN TZU ne voit pas dans la grandiose bataille d’anéantissement le sommet de l’art du stratège. Si l’on peut détruire l’ennemi, l’on se jette sur lui ; mais la “ duperie ”, c’est-à-dire la guerre totale du mensonge, peut faire mieux encore. Elle peut dénaturer les réflexes de l’adversaire de telle sorte que celui-ci se trouve paralysé au jour décisif : “ Ainsi ceux, qui sont experts dans l’art de la guerre, soumettent l’armée ennemie sans combat. Ils prennent les villes sans donner l’assaut et renversent un État sans opérations prolongées ”. MAO TSE TUNG, disciple de SUN TZU, a écrit : “ Il faut dérouter ceux qui conduisent l’ennemi, les égarer, si possible leur faire perdre la raison ”.
La pensée de SUN TZU a franchi les âges et les continents. J’ai fait en 1980 le résumé ci-après, à partir de la version de “ L’Art de la Guerre ” publiée par le général américain Samuel B. Griffith : cliquez ici.
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