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Les données utiles aux entreprises pour maîtriser leurs activités et innover sont très nombreuses et très variées. Indépendamment de la quantité qui ne pose plus de problème de gestion à personne, elles sont aussi de qualité très différentes, par exemple : données reflétant les transactions commerciales, les flux financiers, données officielles du marché, données issues d’études et de sondages, données issues des sites web, des médias sociaux, etc.

Vouloir intégrer toutes les données citées ci-dessus dans un entrepôt d’entreprise centralisé et unique, est-ce pertinent ? Faut-il traiter avec les mêmes moyens et la même rigueur toutes les données de l’entreprise ? Peut-on mixer dans un même entrepôt des données de qualité très différentes ? Quelle confiance peut-on avoir dans les résultats d’un système qui gère des données dont la qualité est très variable ?

A votre avis les utilisateurs sont-ils confiant dans la qualité des données de leur système d’information décisionnel ?

Ci-dessous un ensemble d’articles qui aborde la problématique de la qualité des données des systèmes décisionnels : cliquez ici

Rédigé par Michel Bruley le Lundi 16 Mai 2011 à 11:53 | Permalien | Commentaires {0}
La réalité est faite de nuances, à vouloir tout normaliser, homogénéiser, la représentation que nous en construisons, dans les entrepôts de données d’entreprise centralisés cherchant à répondre à tous les besoins décisionnels, n’est-elle pas une caricature ?

L'uniformité simplifie mais peut-elle éclairer la complexité des choses et créer un environnement favorable à la créativité et à l’innovation ?

La complexité et la lenteur de l’intégration des données dans un entrepôt d’entreprise unique est-elle compatible avec le rythme des affaires d’aujourd’hui ?

L’entrepôt de données d’entreprise n’est-il pas un concept du passé qui n’a jamais été réellement mis en œuvre ?

Connaissez-vous une organisation qui dispose d’un entrepôt de données d’entreprise ?

Ci-dessous un ensemble d’articles qui aborde le thème de l’impasse où conduisent les systèmes décisionnels hétérogènes : cliquez ici

Rédigé par Michel Bruley le Lundi 2 Mai 2011 à 08:12 | Permalien | Commentaires {0}

Les responsables métiers ont-ils un si grand intérêt à ressasser des données détaillées qu’ils ont déjà analysées au jour le jour grâce aux rapports fournis par leur ERP ?

Vouloir fonder ses études et ses réflexions stratégiques sur une analyse des transactions détaillées ne compliquent-ils pas les processus ?

Ce manque d’intérêt n’est-il pas renforcer par le fait que les marchés, sur lesquels les entreprises se concurrencent, sont en perpétuelle évolution, que les organisations et les structures sont en constant changement ?

A propos, considérez-vous que pour alimenter la réflexion stratégique il faut un entrepôt de données détaillées ?

Ci-dessous un ensemble d’articles regroupés sous le titre : Gérer des données historiques détaillées, une solution ou une pollution ? : Cliquez ici

Rédigé par Michel Bruley le Vendredi 15 Avril 2011 à 09:25 | Permalien | Commentaires {1}
Les entrepôts de données qui ne stockent que les données historiques qui ont été générées par les systèmes internes de traitement des transactions peuvent-ils suffire aux entreprises pour faire des choix stratégiques ?

Les données représentatives des activités d’une entreprise ne sont-elles pas qu’une petite partie de l'univers des données nécessaires pour comprendre les marchés (commerciaux, financiers, emplois, ...) dans lesquels les entreprises sont engagées ?

Avez-vous déjà vu des entrepôts de données qui intègrent d’autres données que celles issues des systèmes qui gèrent les transactions de l’entreprise ?

Ci-joint un ensemble d’articles sur le thème de l’activation de l’intelligence dans l’entreprise : cliquez ici

Rédigé par Michel Bruley le Vendredi 1 Avril 2011 à 12:04 | Permalien | Commentaires {1}
Les infocentres ont été à l’origine créés pour répondre aux limites des systèmes informatiques de l’époque, en particulier à l’impossibilité de faire assumer par un même système, sans dégradation des temps de réponse, des activités opérationnelles (OLTP) et des activités de comptages ou d’analyses sur des ensembles conséquents de données.

La séparation des systèmes opérationnels et décisionnels reste encore aujourd’hui d’actualité, mais le sera-t-elle toujours demain ? Les systèmes Exadata d’Oracle, le projet Hana de SAP n’ont-ils pas vocation à intégrer tous les systèmes sur une même plateforme ? Ces nouveaux systèmes vont-ils réellement pouvoir répondre à tous les besoins décisionnels des entreprises ?

A votre avis, dans dix ans créera-t-on encore des systèmes décisionnels séparés des systèmes opérationnels ?

Merci de répondre par oui ou non à cette dernière question via le lien ci-dessous :

Cliquez ici
Rédigé par Michel Bruley le Mardi 1 Mars 2011 à 09:08 | Permalien | Commentaires {0}
Depuis plusieurs années j’ai publié des articles au sujet des systèmes d’information décisionnels. Ces articles ont été écrits au fil de l’eau sans plan d’ensemble préétabli.

Pour rédiger ces textes mes sources d’inspiration ont été très variées : développement d’idées clés du monde du décisionnel, réponses ou compléments à des articles de collègues ou de concurrents, synthèses de notes de lecture, de conférences, d’événements auxquels j’ai participés ou que j’ai organisés, en particulier des déjeuners débats.

Le matériel accumulé finalement est très varié tant au niveau des thèmes que de la forme, mais j’ai pu sélectionner environ 150 textes, les homogénéiser et les ventiler dans les 5 grands chapitres ci-dessous :

Système d’Information Décisionnel (SID) – 25 textes structurés en 4 sous chapitres :

SID à quoi cela sert-il ? – 19 textes structurés en 3 sous chapitres :

SID et fonction Marketing – 38 textes structurés en 7 sous chapitres :

SID et diverses fonctions – 26 textes structurés en 7 sous chapitres :

Management du SID – 43 textes structurés en 9 sous chapitres :

Rédigé par Michel Bruley le Mardi 1 Février 2011 à 09:23 | Permalien | Commentaires {0}

Le système d’information décisionnel est un sujet très important pour les directions générales car c’est un moyen incontournable pour gérer la performance de l’entreprise, de la définition de la stratégie au pilotage opérationnel des activités. Si la contribution des systèmes décisionnels à la création de valeur ne fait pas débat et est largement reconnue, le management de ces systèmes n’est la plupart du temps pas considéré comme optimum, leur contribution étant généralement reconnue comme inférieur aux attentes, les DSI n’en assumant pas une maîtrise technique totalement satisfaisante et les directions métiers ne s’impliquant pas suffisamment.

Dans les entreprises le décisionnel est encore souvent un domaine moins mature du système d’information, du fait d’une offre technologique globalement récente qui a continué à fortement évoluer ces dernières années, et aussi car les DSI ne l’ont pendant longtemps pas mis en tête de leurs priorités. Pour que les systèmes décisionnels créent de la valeur et constituent une source d’avantage concurrentiel, il est nécessaire d’assurer leur adéquation avec les besoins métiers et pour cela il convient de définir un système d’information décisionnel cible, des priorités, des étapes et mettre en place les moyens adéquats.

Que l’on parle d’urbanisation ou de schéma directeur, peu importe le vocabulaire, la planification et la création d’un système décisionnel doit intégrer les mêmes contraintes que pour la réalisation des autres grands composants du système d’information. Concrètement il s’agit de se préoccuper sérieusement de certains sujets clés, par exemple de la gouvernance, des méthodes de développement, du choix des solutions technologiques et de créer des conditions favorables au ROI. Cependant la mise en place de systèmes décisionnels présentent des caractéristiques spécifiques qu’il convient de ne pas sous estimer, notamment pour l’élément fondamental de ces moyens à savoir la gestion de données historiques, en particulier en matière de modèle de données, de données de référence, de qualité de données et de protection des données.

Pour aller plus loin sur ce sujet vous pouvez utilement consulter mes compilations d’articles ci-dessous sur la gestion des données, le développement de système, les solutions technologiques et la gouvernance

Modélisation des entrepôts de données

Données de référence

Qualité des données dans le système d’information décisionnel

Protection de la vie privée

Nouvelles données gérées par les systèmes décisionnels

Propos sur le développement d’un système d’information décisionnel

Solutions technologiques spécifiques pour système d’information décisionnel

Gouvernance des investissements informatiques

Gouvernance du système d’information décisionnel

Rédigé par Michel Bruley le Lundi 3 Janvier 2011 à 09:21 | Permalien | Commentaires {0}
Au de là des directions générales toutes les fonctions de l’entreprise peuvent bénéficier des bienfaits des systèmes décisionnels. Dans toutes les entreprises c’est la fonction finance qui a le plus tôt cherché à utiliser ce type de moyen. En conséquence pendant longtemps les analyses ont plus été faites dans l’optique d’augmenter la productivité que dans celle d’augmenter les ventes, et elles ont débouché sur des actions centrées sur la vie à l’intérieur de l’entreprise avec des réduction des coûts, des réorganisations des processus, des restructuration ou des délocalisations par exemple. Cependant les systèmes décisionnels ont aussi été ponctuellement utilisés pour piloter les investissements marketing, améliorer le mix produit, pénétrer de nouveaux marchés ou développer de nouveaux produits.

En fonction des entreprises la généralisation de l’emploi de moyens d’aide à la décision a été plus ou moins rapide, mais aujourd’hui dans les grandes entreprises toutes les fonctions ont des systèmes, même si en général il reste encore beaucoup à faire.

Globalement j’ai beaucoup écrit sur les apports du décisionnel à la fonction marketing (cf. le chapitre spécifique) mais j’ai aussi traité de l’apport d’un entrepôt de données à certaines des autres fonctions comme les compilations de textes ci-dessous le montre.

Entrepôt de données d’entreprise pour la gestion financière

Entrepôt de données et gestion des risques

Système d’information décisionnel et prévisions

SID et fonctions achat, qualité, garantie, maintenance et MRO

Système d’information décisionnel et logistique

Ressources humaines et système d’information décisionnel

Analyse de données et optimisation des prix

Rédigé par Michel Bruley le Mercredi 1 Décembre 2010 à 08:57 | Permalien | Commentaires {0}

Le marketing lors de ces quinze dernières années a beaucoup évolué. Il a en particulier été très conditionné par les possibilités offertes par l’informatique de s’adresser directement à chaque client individuellement, qui ont permis le développement du fameux 1:1 marketing. D’un point de vue système d’information au cœur du 1:1 marketing se trouve donc une base de données permettant d’identifier les clients ou prospects, ou mieux encore un entrepôt de données pour gérer les préférences des clients, l’historique des contacts et des transactions. Dans ce cadre la démarche consiste à différencier les clients en fonction de leurs besoins et de leur valeur, d’interagir avec eux et de personnaliser le produit ou service.

Grâce à de meilleurs systèmes d’information, les entreprises s’ouvrent un monde d’opportunités. La route cependant est longue, il faut commencer par collecter des données sur chaque client, réaliser des analyses, des segmentations, fixer des stratégies en fonction des enjeux, adapter les communications, guider les expériences des clients et coordonner les actions à travers de multiples canaux. Dans cette approche la première difficulté est d’amener l’ensemble des intervenants de l’entreprise à se focaliser sur des objectifs de satisfaction du client, et pour cela de partager les informations et de se coordonner. La difficulté accessoire est de maîtriser toutes les nouvelles technologies nécessaires.

Dans ce contexte et en parallèle le comportement du client évolue, il devient plus exigeant moins fidèle, disposant d’un accès plus facile aux informations sur le marché, de choix illimités, il se met à réclamer une réponse précise à ses besoins et une qualité hors pair. Dans l’entreprise les activités des directions marketing se retrouvent plus directement sous le regard des directions générales, et comme pour toutes les autres fonctions font l’objet d’évaluations systématiques de leur rentabilité. Enfin les entreprises positionnées mondialement mettent systématiquement en place des stratégies globales laissant généralement peu de place aux variations locales.

Aujourd’hui de nouvelles perspectives s’esquissent avec le développement du monde internet. Au-delà des sites, des portails, des webzines, des blogs, se développent des plateformes d’échanges, des communautés et de nombreux réseaux de toute nature. Facebook, Linkedin et Twitter par exemple vont être à l’origine d’une nouvelle étape, qui va permettre de dépasser les approches du 1:1 Marketing, qui correspondra mieux aux comportements de la génération qui aura toujours vécu dans un monde numérique, instantané et planétaire.

Pour aller plus loin sur ce thème « système d’information décisionnel et fonction marketing », vous pouvez utilement consulter mes compilations d’articles ci-dessous :

Quelques propos sur le marketing

Importance de la connaissance client

Approche analytique des clients

Information et communication client

Fidélisation et expérience client

Marketing opérationnel, relationnel et multi canal

Solutions CRM
Rédigé par Michel Bruley le Lundi 1 Novembre 2010 à 09:35 | Permalien | Commentaires {0}

Dans l’entreprise le système d’information (SI) a pour objectif de faciliter l’établissement et la mise en œuvre de la stratégie, en particulier de concrètement supporter la réalisation des activités. Il est construit à partir des exigences des métiers, des processus définis par l’entreprise, et il est constitué de l’ensemble des moyens (humains, logiciels, matériels) utilisés pour collecter, stocker, traiter et communiquer les informations.

Il est d’usage de distinguer trois types différents de SI, les systèmes supportant la conception des produits (calcul numérique, CAO, ...), les systèmes industriels (conduite de machines, contrôle de process, ...) et les systèmes de gestion. Ces derniers couvrent toutes les activités de gestion du fonctionnement de l’entreprise (marketing, vente, achat, production, logistique, finance, ressources humaines, R&D). Pour des raisons techniques, qui existent toujours en partie aujourd’hui, les systèmes d’information de gestion ont été historiquement structurés en deux sous systèmes : l’un dit opérationnel qui prend en charge la réalisation des opérations au jour le jour et l’autre dit décisionnel qui fournit des informations pour définir la stratégie, piloter les opérations et analyser les résultats.

Un système décisionnel est donc avant tout un moyen qui a pour but de faciliter la définition et la mise en œuvre de stratégies gagnantes. Mais il ne s’agit pas de définir une stratégie une fois pout toute, mais d’être à même de continuellement s’adapter à son environnement, et de le faire plus vite que ses concurrents. Pour cela il convient de bien comprendre son environnement, d’ajuster ses interactions avec lui en faisant les meilleurs choix de cibles et d’actions. Concrètement le chemin à suivre peut être caractérisé par les quatre objectifs suivants : comprendre son environnement, se focaliser sur des cibles, aligner son organisation et mettre en œuvre les plans d’actions nécessaires.

Un système décisionnel va en particulier aider au pilotage des plans d’actions (prévision, planification, suivi), à l’apprentissage (acquisition de savoir faire, de connaissances, de compétences) et à la réalisation d’innovations incrémentales (adaptation du modèle d’affaires : produits/services, organisation, etc. …). Les systèmes décisionnels traditionnels permettent de faire l’analyse des activités déjà réalisées et d’en tirer des enseignements pour les activités futures, pour cela ils utilisent des données plus ou moins récentes (au mieux mises à jour quotidiennement). Les systèmes décisionnels plus avancés gèrent des données plus fraîches (certaines sont mises à jour en quasi temps réel), automatisent des décisions et supportent en temps réel des opérations (centre d’appels, web par exemple).

Pour aller plus loin sur l’usage des systèmes décisionnels, vous pouvez utilement consulter mes compilations d’articles et la présentation ci-dessous :

Du pilotage stratégique à l’intelligence économique

Approches analytiques de pointe, data mining ou fouille de données

Propos sur l’analyse

Présentation : apprentissage stratégique

Rédigé par Michel Bruley le Vendredi 1 Octobre 2010 à 08:37 | Permalien | Commentaires {0}
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